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  • Découvrez mes conseils de Naturopathe diplômé de l'École de Robert Masson et restez en bonne santé grâce aux techniques naturelles de santé comme l'aromathérapie parce que votre santé vous appartient. Consultations à domicile.
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A propos de la pub !

Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

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A.HomeNaturo OverblogNaturopathe diplomé du CENA. 

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Archives

2 novembre 2012 5 02 /11 /novembre /2012 06:57

Maladie de Lyme : silence des autorités sanitaires de France et désarois des malades.

 

 

 

A.HomeNaturoLa Maladie de Lyme

 

en question

 


On en parle au Sénat


Si vous n'êtes pas déjà infecté et si vous n'en n'avez encore jamais entendu parlé, patience ça va venir !  

 

Devant ce fléau qui touche tous les pays, la France semble bien la seule épargnée...

Mystère...Cette maladie transmise essentiellement par les tiques, oui, oui celles que vous ôtez avec dégoût de votre chien ou de votre chat, cette maladie donc, transmissible à l'homme, paraît bien ne pas passer les frontières de la France ! Tiens, tiens, comme un fameux nuage venant de Tchernobyl...Nous en avons de la chance en France, vous ne trouvez pas ?

Nos gouvernements successifs font bel et bien tout pour ne pas nous alarmer, nous paniquer, sauf en ce qui concerne certaines grippes " ultra violentes et particulièrement dangereuses " mais dont, quel bonheur (!), nos laboratoires ont justement le bon vaccin à nous vendre !

 

Le dénit des autorités sanitaires Françaises


Face au silence des autorités sanitaires de notre beau pays en matière d'épidémie de Maladie de Lyme, Monsieur Alain Fauconnier, Président de l'Association Lyme Sans Frontière, pose une question au Sénat à l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la maladie de Lyme ou borréliose de Lyme  et publiée dans le Journal Officiel du Sénat en date du 1er novembre 2012.

 

Prenez connaissance de cette publication : b ok mod ident

 

 

Association Lyme Sans Frontière b ok mod ident

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 18:39

 

 

 

 

PETITS-BONHEURS-2.jpg

 

Les petits bonheurs de la vie remplissent nos existences,

  

comme les gouttes d'eau l'Océan.

Il ne faut pas les refuser,

il ne faut pas les attendre.


Les petits bonheurs il faut les créer et les apprécier.

 

 

"P icorer tous les petits plaisirs jusqu'à ce que le grand bonheur arrive... Et s'il n'arrive pas, on aura au moins joui de tous les petits bonheurs   

 

   
  Théodor Fontane

 

 

 

 

Ces petits riens qui embellissent la vie

 

HomeNaturo Sites amis

tout simplement...

 


273506 1528213462 4463058 q  Pour une fois éteignez la télé et passez la soirée à faire rêver vos enfants ou rire vos amis...

 

Avec vos deux mains, apprenez à créer tout un univers,

entre Ombre et Lumière :


578343_503117843041481_1435048872_n.jpg

 

images 3

images.-2jpg.jpg

 

images.jpg

 

  Allez à vous de jouer pour rendre la vie simplement magique et belle !

 


 

273506 1528213462 4463058 qLes autres Petits Bonheurs

De l'art de rendre la vie simple...

De la valeur d'un sourire...

Quand la vie nous réserve ses épreuves...

Savoir lâcher prise

 

et aussi :

2012 en douze bonnes résolutions


 

PETITS BONHEURS-3

 

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 10:25

Le secteur de l'Agro-Alimentaire

rend les humains et la Terre malades.


Faisons donc ensemble un petit tour d'horizon de ses néfastes actions :

 

  • Inciter par des techniques de communications outrancières, la surconsommation alimentaire, au-delà des nécessités physiologiques, en oubliant la notion de « frugalité ». 
  • Provoquer grâce à une publicité visuelle, de chaque instant, ADDITIFS-8 le grignotage en faisant oublier le processus de la sensation de faim qui devrait indiquer, à chaque individu, le moment de manger. 
  • Culpabiliser les parents qui tentent de refuser à leurs enfants les préparations que l' industrie alimentaire leur présente comme une fête ! ADDITIF-14 X

 

 

Nous voilà donc devant les trois grandes forces de l'industrie de l'agro alimentaire :  

Inciter, Provoquer, Culpabiliser !


Viennent ensuite les moyens de cette même industrie pour parvenir à ses fins, en commençant par :

  •  ADDITIF-16 X Industrialiser l’alimentation humaine à des fins uniquement mercantiles, sans se soucier de la Santé des Hommes, inventer des molécules qui n’existent pas dans la Nature et les intégrer, sans aucune précaution, à l’alimentation humaine. 
  • Créer des Organismes Génétiquement Modifiés (O.G.M)  sans considération pour les générations futures OGM-2 ni vision à court, long et moyen terme sur leur impact environnemental. Tout en prétendant que c'est là le salut de l'humanité !  
  •  ADDITIF-17 XColorer chimiquement notre nourriture pour la rendre plus attractive et nous tromper par le sens visuel :  Bonbons - photo Mich53l’addiction aux sucres colorés se fait dès la prime enfance avec toutes les bonbonneries multicolores attractives que l’on offre aux regards curieux et naïfs des enfants. 
  • Inventer des molécules olfactives, simulant, artificiellement, les molécules naturelles sans mesurer les conséquences sur la santé humaine (goût de truffe sans truffes, goût de vanille sans vanille,  goût de framboise sans framboises et bientôt des fraises au goût de fraises " Tagada " etc.). 
  • Faire croire que « le sucre » issu de la betterave sucrière ou de la canne à sucre (appelé également « saccharose », constitué chimiquement par une molécule de glucose lié à une molécule de fructose ) est un « poison » alors qu’il est simplement trop épuré de ses fibres, et le remplacer par des vrais poisons « édulcorants » : aspartame, saccharine et dérivés. 
  • Faire du lait animal et de tous ses produits dérivés, des bases alimentaires pour l’être humain sous prétexte d’abondance en calcium et en protéines de « croissance », alors que le calcium laitier animal est peu assimilable et que lesdites protéines de croissance sont en fait des hormones de croissance pour les petits mammifères à croissance rapide. Or, ces hormones animales de croissance possèdent des effets redoutables pour l’être humain, quel que soit son âge. 
  • Modifier par « hydrogénation » les structures moléculaires naturelles des lipides liquides végétaux  pour mieux les transporter et les conserver.  Ces huiles raffinées, trafiquées et solidifiées perdent non seulement tout intérêt nutritionnel, mais deviennent toxiques par la création des formes moléculaires « trans ».
  • Irradier les aliments pour les mêmes raisons. Sans soucis de la santé humaine.
  • Raffiner les aliments pour mieux les conserver, provoquant ainsi une explosion d'intolérances alimentaires et rendant ces mêmes aliments dénués de tout intérêt nutritif !
  • Surcharger en SEL raffiné (chlorure de sodium) nos aliments pour mieux les conserver (le sel inhibe la prolifération bactérienne) en favorisant ainsi l’hypertension artérielle et la fuite du calcium de l’organisme. Le sel devant alors un facteur d'accoutumance. 
  • Dénaturer (au sens littéral : Dé-Naturer) les molécules alimentaires par la cuisson à haute température ou au micro-ondes, créant ainsi les « molécules de Maillard » indigestes et toxiques et de nombreuses autres molécules carcinogènes.
  • Inventer le concept des « alicaments », néologisme formé à partir d’aliments et de médicaments en rajoutant des vitamines de synthèse, et d’autres molécules vertueuses à des « aliments » aux piètres qualités nutritionnelles, pour les transformer, marketing oblige, en aliments soi-disant « excellents pour notre santé ».

 et pour finir :

429235_446792745362569_1070362664_n.jpg

Ou comment se faire du blé !

  • Voler à tous les peuples de la Terre, vous compris, les semences des plantes !
  • Appauvrir les agriculteurs en favorisant les bénéfices de ces industries et leurs actionnaires
  • Désertifier les campagnes pour mieux régner...etc.


Quelques-unes des responsabilités de l'Industrie Agro-Alimentaire

obésité 2 - colros

Obésité morbide

arthrite

Arthrite

arthrose

Arthrose

Diabète

Diabète

 

L’épidémiologie des cancers, de l'Obésité, du diabète, des maladies dégénératives du système nerveux central tel que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer prouve que l’alimentation dite « moderne » doit être radicalement et rapidement modifiée, il en va de la santé des Humains et de la Terre !

 

250px-Hazardous-pesticide

 

Quant à l'inévitable impact environnemental il n'est, hélas, plus à démontrer avec :

  • l'invasion des algues vertes,
  • l'appauvrissement des nappes phréatiques,
  • la dégénérescence des sols de culture,
  • la disparition des abeilles
  • la surexploitation de la mer
  • les aberrations de l'élevage industriel
  • les risques sanitaires de santé pour les agriculteurs pratiquant l'agriculture chimique,...etc !

AGRICULTEURS VICTIMES DES PESTICIDES

Les choix alimentaires vous appartiennent loin du chant des sirènes des publicitaires à la solde de l'agro-alimentaire, ce sont des choix en matière : de santé, d'éducation, d'environnement et d'économie qui s'imposent à vous. Pensez-y ! Car eux, sont ravis de penser pour vous !

   

31008_421825321205502_552208314_n.jpg

 

A.HomeNaturo Overblog J'ai trouvé une partie de cet article sur le net, preuve que je ne suis pas le seul à m'insurger contre l'industrie agro-alimentaire ! J'y ai, bien entendu, ajouté mon (gros) grain de sel, comment faire autrement dans un tel article ? Que son auteur me pardonne : je n'ai pas noté son nom !

 

 

Lire sur le même sujet :

Les OGM, l'avis du Naturopathe ici

L'alimentation Mondiale et l'Agriculture Bio  ici

Faut-il consommer Bio, l'avis du Naturopathe  ici

 

 

 Pour aller plus loin :


Alimentation et santé :

Alimentation : Alerte santé publique

L'Obésité en France.

Agriculture et phytosanitaires : 

A voir absolument : La mort est dans le pré

Monsanto, selon le Monde

Quels enjeux pour quel monde ?

Suicides des paysans, disparitions des fermes pour qui, pourquoi ?

PAC, pour qui, pour quoi ?

L'évaluation des pesticides : les lacunes réglementaires

Les Epandages aériens sont facilités en France

Des agriculteurs victimes de pesticides veulent rompre le silence

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Quand les apiculteurs occupent un site Monsanto en France

La semaine sans pesticides en France et dans le monde !

Semaine sans pesticides...si on en parlait ?

L'élevage accro aux antibiotiques

Philippe Labre, vétérinaire Bio interdit d'exercer

Les algues vertes : un été pourrit en Bretagne

Agriculture et OGM :

Les OGM, l'avis du Naturopathe

La toxicité des OGM démontrée !

Nouvelle action contre monsanto et le maïs OGM

Agriculture BIO et actions qui y sont liées :

La Naturopathie et la BIO

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

Loi sur les semences : le germe de la colère

Les semences de la colère

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

Abeilles : chronique d'une mort annoncée

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

La révolution verte est en marche

Les semences de la colère

Agriculture et santé :

Alimentation : Alerte santé publique

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

Les maladies dégénératives passent à table !

Des pesticides dans notre sang !

Les OGM reconnus dangereux...

Pesticides et Parkinson : de la cause à l'effet !

Cancer d'un agriculteur, l'état va devoir indemniser...

Alimentation : Alerte santé publique


Dossier : Les maladies dégératives, nous sommes tous menacés !

Les maladies dégénératives en augmentation

Les maladies dégénératives passent à table !

Hyperactivité, Maladies dégénératives et additifs le lien est établi !

Maladies dégénératives, leucémies et nucléaire : trop de cas

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Maladies dégénératives, retrouvez l'hygiène au naturel !

Maladies dégénératives, le foetus première victime

antennes-relais et maladies : il n'y a plus de doute !

Les maladies dégénératives, en conclusion

 

Pour plus d'infos consultez le dossier :

GRANDES CAUSES 

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 10:24

Le secteur de l'Agro-Alimentaire

rend les humains et la Terre malades.


Faisons donc ensemble un petit tour d'horizon de ses néfastes actions :

 

  • Inciter par des techniques de communications outrancières, la surconsommation alimentaire, au-delà des nécessités physiologiques, en oubliant la notion de « frugalité ». 
  • Provoquer grâce à une publicité visuelle, de chaque instant, ADDITIFS-8 le grignotage en faisant oublier le processus de la sensation de faim qui devrait indiquer, à chaque individu, le moment de manger. 
  • Culpabiliser les parents qui tentent de refuser à leurs enfants les préparations que l' industrie alimentaire leur présente comme une fête ! ADDITIF-14 X

 

 

Nous voilà donc devant les trois grandes forces de l'industrie de l'agro alimentaire :  

Inciter, Provoquer, Culpabiliser !


Viennent ensuite les moyens de cette même industrie pour parvenir à ses fins, en commençant par :

  •  ADDITIF-16 X Industrialiser l’alimentation humaine à des fins uniquement mercantiles, sans se soucier de la Santé des Hommes, inventer des molécules qui n’existent pas dans la Nature et les intégrer, sans aucune précaution, à l’alimentation humaine. 
  • Créer des Organismes Génétiquement Modifiés (O.G.M)  sans considération pour les générations futures OGM-2 ni vision à court, long et moyen terme sur leur impact environnemental. Tout en prétendant que c'est là le salut de l'humanité !  
  •  ADDITIF-17 XColorer chimiquement notre nourriture pour la rendre plus attractive et nous tromper par le sens visuel :  Bonbons - photo Mich53l’addiction aux sucres colorés se fait dès la prime enfance avec toutes les bonbonneries multicolores attractives que l’on offre aux regards curieux et naïfs des enfants. 
  • Inventer des molécules olfactives, simulant, artificiellement, les molécules naturelles sans mesurer les conséquences sur la santé humaine (goût de truffe sans truffes, goût de vanille sans vanille,  goût de framboise sans framboises et bientôt des fraises au goût de fraises " Tagada " etc.). 
  • Faire croire que « le sucre » issu de la betterave sucrière ou de la canne à sucre (appelé également « saccharose », constitué chimiquement par une molécule de glucose lié à une molécule de fructose ) est un « poison » alors qu’il est simplement trop épuré de ses fibres, et le remplacer par des vrais poisons « édulcorants » : aspartame, saccharine et dérivés. 
  • Faire du lait animal et de tous ses produits dérivés, des bases alimentaires pour l’être humain sous prétexte d’abondance en calcium et en protéines de « croissance », alors que le calcium laitier animal est peu assimilable et que lesdites protéines de croissance sont en fait des hormones de croissance pour les petits mammifères à croissance rapide. Or, ces hormones animales de croissance possèdent des effets redoutables pour l’être humain, quel que soit son âge. 
  • Modifier par « hydrogénation » les structures moléculaires naturelles des lipides liquides végétaux  pour mieux les transporter et les conserver.  Ces huiles raffinées, trafiquées et solidifiées perdent non seulement tout intérêt nutritionnel, mais deviennent toxiques par la création des formes moléculaires « trans ».
  • Irradier les aliments pour les mêmes raisons. Sans soucis de la santé humaine.
  • Raffiner les aliments pour mieux les conserver, provoquant ainsi une explosion d'intolérances alimentaires et rendant ces mêmes aliments dénués de tout intérêt nutritif !
  • Surcharger en SEL raffiné (chlorure de sodium) nos aliments pour mieux les conserver (le sel inhibe la prolifération bactérienne) en favorisant ainsi l’hypertension artérielle et la fuite du calcium de l’organisme. Le sel devant alors un facteur d'accoutumance. 
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  • Inventer le concept des « alicaments », néologisme formé à partir d’aliments et de médicaments en rajoutant des vitamines de synthèse, et d’autres molécules vertueuses à des « aliments » aux piètres qualités nutritionnelles, pour les transformer, marketing oblige, en aliments soi-disant « excellents pour notre santé ».

 et pour finir :

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Ou comment se faire du blé !

  • Voler à tous les peuples de la Terre, vous compris, les semences des plantes !
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  • Désertifier les campagnes pour mieux régner...etc.


Quelques-unes des responsabilités de l'Industrie Agro-Alimentaire

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Obésité morbide

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Diabète

Diabète

 

L’épidémiologie des cancers, de l'Obésité, du diabète, des maladies dégénératives du système nerveux central tel que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer prouve que l’alimentation dite « moderne » doit être radicalement et rapidement modifiée, il en va de la santé des Humains et de la Terre !

 

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Quant à l'inévitable impact environnemental il n'est, hélas, plus à démontrer avec :

  • l'invasion des algues vertes,
  • l'appauvrissement des nappes phréatiques,
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  • la surexploitation de la mer
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AGRICULTEURS VICTIMES DES PESTICIDES

Les choix alimentaires vous appartiennent loin du chant des sirènes des publicitaires à la solde de l'agro-alimentaire, ce sont des choix en matière : de santé, d'éducation, d'environnement et d'économie qui s'imposent à vous. Pensez-y ! Car eux, sont ravis de penser pour vous !

   

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Lire sur le même sujet :

Les OGM, l'avis du Naturopathe ici

L'alimentation Mondiale et l'Agriculture Bio  ici

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 Pour aller plus loin :


Alimentation et santé :

Alimentation : Alerte santé publique

L'Obésité en France.

Agriculture et phytosanitaires : 

A voir absolument : La mort est dans le pré

Monsanto, selon le Monde

Quels enjeux pour quel monde ?

Suicides des paysans, disparitions des fermes pour qui, pourquoi ?

PAC, pour qui, pour quoi ?

L'évaluation des pesticides : les lacunes réglementaires

Les Epandages aériens sont facilités en France

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Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

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La semaine sans pesticides en France et dans le monde !

Semaine sans pesticides...si on en parlait ?

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Agriculture et OGM :

Les OGM, l'avis du Naturopathe

La toxicité des OGM démontrée !

Nouvelle action contre monsanto et le maïs OGM

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La Naturopathie et la BIO

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ?

Loi sur les semences : le germe de la colère

Les semences de la colère

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

Abeilles : chronique d'une mort annoncée

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

L'Alimentation mondiale et l'agriculture Bio

La révolution verte est en marche

Les semences de la colère

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Alimentation : Alerte santé publique

Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé !

Les maladies dégénératives passent à table !

Des pesticides dans notre sang !

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Pesticides et Parkinson : de la cause à l'effet !

Cancer d'un agriculteur, l'état va devoir indemniser...

Alimentation : Alerte santé publique


Dossier : Les maladies dégératives, nous sommes tous menacés !

Les maladies dégénératives en augmentation

Les maladies dégénératives passent à table !

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Maladies dégénératives, leucémies et nucléaire : trop de cas

Les sols de culture, l'aluminum, les engrais et alzheimer

Maladies dégénératives, retrouvez l'hygiène au naturel !

Maladies dégénératives, le foetus première victime

antennes-relais et maladies : il n'y a plus de doute !

Les maladies dégénératives, en conclusion

 

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 12:37

 

 

L'obésité en France :
7 millions d'adultes atteints en 2012
En quinze ans, les Français ont pris en moyenne 3,6 kg tandis que leur tour de taille gagnait 5,3 cm (passant de 85,2 cm à 90,5 cm).
En quinze ans, les Français ont pris en moyenne 3,6 kg tandis que leur tour de taille gagnait 5,3 cm (passant de 85,2 cm à 90,5 cm). | LP/ OLIVIER BOITET
Les Français grossissent ! 
Selon une enquête nationale (*), l'obésité touche, en 2012, 15% de la population adulte, correspondant à un peu plus de 6,9 millions d'obèses, soit environ 3,3 millions de plus qu'en 1997. En quinze ans, les Français ont pris en moyenne 3,6 kg tandis que leur tour de taille gagnait 5,3 cm (passant de 85,2 cm à 90,5 cm).
Une progression importante mais qui semble marquer le pas selon cette étude trisannuelle ObEpi-Roche.

La fréquence de l'obésité augmente avec l'âge. ADDITIF-12 X Mais c'est dans la tranche des 18-24 ans que son augmentation a été la plus franche entre 2009 et 2012 (+35% alors que la variation va de -1,5% à +4,5% à d'autres âges).

Face à ce constat, le ministre chargé de l'agroalimentaire, Guillaume Garot, a décidé de s'attaquer au problème. Et en premier lieu à l'alimentation industrielle, levier le  plus facile à actionner sans doute. Selon une enquête effectuée par Europe 1, le ministre veut signer un «pacte» avec les 12 000 entreprises du secteur pour améliorer la qualité nutritionnelle de leurs produits.

Modifier les recettes et les étiquettes

Les négociations devraient commencer début novembre pour un accord attendu courant 2013. Deux objectifs sont programmés : la modification des recettes pour qu’il y ait moins de sucre, moins de sel, moins de graisse dans les produits et une meilleure lisibilité de l'étiquetage pour que «l’information donnée aux consommateurs soit plus simple et plus compréhensible».  


Autant dire que biscuits, snacks et autre petit «en cas» qui font le lit de l'obésité ou des maladies cardio-vasculaires vont être mis «au régime» car pour Guillaume Garot, les industriels qui affirment déjà alléger leurs produits ne jouent pas vraiment le jeu. Une date butoir pourrait être fixée et des objectifs chiffrés seraient à atteindre.

Des logos pour distinguer les aliments à éviter

« Aujourd’hui, pour comprendre une étiquette nutritionnelle, il faut être quasiment ingénieur chimiste. Ça ne va pas », constate par ailleurs le ministre qui propose la création de logo de couleur, comme les feux tricolores, pour distinguer les aliments à éviter. Des mentions officielles, telles que «conçu avec moins de sucre» ou «avec moins de gras», pourraient aussi être apposées sur les paquets.


Cette politique contre l’obésité concerne l’ensemble de la société. C’est pour ça que l’ensemble du sera mobilisé sur cette question», a-t-il expliqué sur Europe 1.

(*) 6e édition de l'étude trisannuelle ObEpi-Roche, réalisée auprès de plus de 25 000 personnes âgées de plus de 18 ans

Source : LeParisien du 16.10.2012

 

A.HomeNaturo Overblog Oui, bon, que les étiquettes soient plus compréhensibles il va sans dire que c'est une importante avancée mais on reste lié à l'industrie Agro-Alimentaire !! Et que penser des mentions : « conçu avec moins de sucre » ou « avec moins de gras » par rapport à quoi, à qui ? Moins, n'est-ce pas encore trop, quand on sait la quantité de sel, sucres et autres graisses qui entrent dans la composition des prépartions industrielles ?

Pourquoi les familles achètent-elles des plats tout préparés ? Par simplicité, pour le prix ? Oui, bien entendu mais aussi parce que bon nombre de personnes ne savent plus cuisiner et ce n'est pas pour autant par manque de temps. On peut parfaitement imaginer caler un matin par semaine, cuisiner pour plusieurs jours et congeler les plats ainsi préparés. Seulement il faut savoir le faire, savoir comment s'y prendre. Alors, les étiquettes lisibles oui, mais pourquoi ne pas offrir à toutes celles et ceux qui le souhaitent des cours, simples et...gourmands de cuisine saine ? La Sécurité Sociale y gagnerait et la santé de tous aussi ! Quant au coût d'un plat surgelé (ou autre) il n'est certainement pas moins élevé qu'un kilo de carotte et un morceau de maquereuse ou de plat de côte ! Je suis convaincu que ce n'est qu'en retrouvant le chemin de la cuisine, qu'en instaurant un régime alimentaire sain et portionné et en prenant, de nouveau, le temps de manger à table, que le problème de l'obésité sera résolu pour la plupart des personnes atteintes de surpoids - puisqu'il va sans dire que l'on ne parle ici que des personnes dont le surpoids est une résultante d'un déséquilibre alimentaire et non d'une pathologie physique ou psychique - !

Ainsi, en matière alimentaire aussi, l'important est de prendre sa santé en mains et non de se laisser conduire par la publicité et les lobbys...

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 22:24

Ne laissons pas le vivant devenir la propriété de quelques-uns.

Les plantes et leurs semences sont les biens de l'Humanité tout entière !

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOL'été est bel et bien la saison du repos, les lunettes de soleil sont sur tous les nez et la sieste endort la vigilance.

C'est donc cet été que des Grandes Manœuvres Secrètes sont entrées en action pour stopper la prolifération des compléments alimentaires, pour se faire et, en catimini, la Cour de Justice Européenne vient de déclarer par le fait que ceux qui voudront utiliser des semences traditionnelles devront être considérés comme hors la loi au même titre que des trafiquants de drogue !

 

Il est donc urgent  de soutenir l’action de l’association Kokopelli qui se bat pour conserver la diversité des semences ( pour le site cliquez: ICI )

et de voir ou revoir la vidéo la semence dans tous ses états ( pour la voir cliquez : ICI )

logoKOKOPELLI

 

Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi.

Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences.


Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal !


Soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, des paysans et des citoyens entrent en résistance.

Photo : source

Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres.

Des agriculteurs s’inquiètent d’une proposition de loi votée par les sénateurs le 8 juillet dernier, et déjà appliquée par décret aux productions de blé tendre. S’ils veulent conserver une partie de leur récolte pour la ressemer l’année suivante (quoi de plus naturel ?), les producteurs de blé tendre doivent payer une redevance appelée « Contribution volontaire obligatoire » (sic).  

« L’enjeu de cette nouvelle proposition de loi est d’étendre ce mécanisme à tous les paysans, alerte Guy Kastler, du Réseau semences paysannes. Chaque fois qu’on cultivera un hectare, ils prendront un peu d’argent de nos poches pour payer les détenteurs de propriété intellectuelle. »

La loi prévoit de considérer la reproduction de semences à la ferme, sans payer cette dîme moderne à leurs « propriétaires », comme une contrefaçon [1]. La récolte pourra alors être saisie. 

Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Depuis 1949, toute variété de semence mise sur le marché doit obligatoirement être inscrite sur le catalogue géré par l’Office communautaire des variétés végétales (OCVV), dont le siège est à Angers  [2]. Cet office accorde un droit de propriété intellectuelle, d’une durée de 25 à 30 ans, à « l’obtenteur », celui qui a sélectionné cette variété. Les principaux détenteurs de ces « certificats d’obtention végétale » [3] ne sont autres que les grandes multinationales semencières : Bayer, Limagrain, Monsanto, Pioneer, Vilmorin ou Syngenta. Tous réunis au sein de l’Union française des semenciers, qui aurait fortement appuyé le projet de loi.

Rendre les paysans captifs

« Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. En revanche, nous sommes opposés à ce que ces obtenteurs récupèrent des taxes sur le travail de sélection que nous menons dans nos fermes. » Avec d’autres paysans et des consommateurs soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, Jean-Pierre a fait le déplacement à Angers ce 19 novembre pour « débaptiser » l’OCVV, renommé « Office communautaire de la confiscation des semences ». Un geste symbolique qui en dit long sur les menaces pesant sur l’avenir de notre alimentation.

Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pour cet ancien porte-parole de la Coordination nationale pour la défense des semences fermières (CNDSF), l’objectif des firmes semencières est clair : « Elles veulent instaurer un marché captif, que les agriculteurs achètent leurs semences et qu’ils n’en fassent plus chez eux. La loi en préparation consiste non pas à interdire complètement mais à restreindre un maximum le droit des semences à la ferme. » Le texte propose ainsi d’autoriser la semence de ferme pour seulement 21 espèces – en échange du paiement de la Contribution volontaire obligatoire – et d’interdire cette pratique pour toutes les autres espèces.

« Ce n’est pas la recherche qu’ils veulent rémunérer mais les actionnaires »

Pourquoi cette redevance ? Officiellement, pour financer la recherche.

Actuellement, 85 % des sommes récoltées par la Contribution volontaire obligatoire sont reversées directement aux obtenteurs, et 15 % servent à alimenter le Fonds de soutien à l’obtention végétale en blé tendre. « Les objectifs de sécurité et de qualité alimentaire doivent être définis par le public, et non par les seules recherches de profits des entreprises semencières privées », argue la Confédération paysanne. D’après le syndicat, l’application de la proposition de loi entraînerait un prélèvement supplémentaire sur le revenu des agriculteurs français estimé à 35 millions d’euros. « La recherche doit être financée aussi par le public et non par les seuls agriculteurs. Il convient de mettre en place un mécanisme de financement public de la recherche », estime la Confédération paysanne. Le syndicat suspecte l’Union française des semenciers de vouloir d’ailleurs tripler la redevance (environ 3,50 euros par hectare aujourd’hui).

Des carottes illégales et des choux clandestins

Non loin de l’Office communautaire des variétés végétales, sur la place du Pilori, dans une rue piétonne d’Angers, se déroulent les rencontres des semences paysannes et fermières d’Anjou. Ici, des artisans semenciers partagent une même passion, celle de la sélection, de la conservation, de la multiplication et de l’échange des semences. François Delmond est membre de l’association Les Croqueurs de carottes, qui sauvegarde les variétés potagères traditionnelles menacées de disparition. Sur le stand, plusieurs variétés de carottes et de choux rouges sont proposées à la dégustation. Les réactions varient du « surprenante, celle-là » au « celle-ci a un goût de noisette très fort, vous ne trouvez pas ? ». Pour François, ces dégustations sont l’occasion de montrer l’impact des choix variétaux sur la qualité gustative.

« Ce que vous mangez est une variété de carotte illégale car elle a été radiée du catalogue, elle ne respectait pas les critères », explique François à une passante. Entre 1954 (date d’existence du premier catalogue des variétés de plantes potagères) et 2002, 80 % des variétés ont été radiées du catalogue, à cause d’une réglementation de plus en plus contraignante. « Ce que nous voulons, c’est la liberté de faire notre travail en âme et conscience, la liberté du jardinier de semer la variété qu’il veut et la liberté du consommateur d’accéder à des aliments différents. » Une liberté qui contribue à l’augmentation et à la conservation de la biodiversité cultivée, à la réduction de l’utilisation des pesticides ainsi qu’à l’essor de variétés adaptées à leurs terroirs et aux variations climatiques.

Rébellion contre la dîme des multinationales

Une campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs et des jardiniers sur les semences vient d’être lancée par plusieurs organisations. « Les droits des agriculteurs de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences, les protéger de la biopiraterie et des contaminations par les OGM brevetés, et de participer aux décisions nationales concernant la biodiversité cultivée sont reconnus par le Traité international sur les semences approuvé en 2005 par le Parlement français », rappelle Anne-Charlotte Moÿ, en charge des questions juridiques au Réseau semences paysannes. Or, une succession de règlements européens et de lois nationales conduisent progressivement à leur interdiction totale.


Quoi faire ? 

La proposition de loi relative aux certificats d’obtention végétale doit être débattue le 28 novembre à l’Assemblée nationale.

Il est toujours possible de participer à la cyberaction, qui a déjà recueilli plus de 14 000 signatures, et un rassemblement est prévu devant l’Assemblée. « Il nous faut rester mobilisés, avertit Guy Kastler, afin de ne pas abandonner l’alimentation à quelques firmes multinationales. » Il y a trois siècles, les paysans versaient la dîme ou étaient contraints à des corvées au profit du seigneur local, propriétaire des terres… Aujourd’hui, cette domination s’est déplacée vers les semences.

Sophie Chapelle

Notes

[1] Lire à ce sujet Comment les semenciers tentent d’asservir l’agriculture paysanne.

[2] Pour être inscrites, les variétés doivent répondre à trois critères : la distinction (la variété doit être nettement distincte de toute autre variété notoirement connue) ; l’homogénéité (la variété est suffisamment uniforme dans ses caractères pertinents) ; la stabilité (la variété reste conforme à la définition de ses caractères essentiels après avoir été reproduite ou multipliée).

[3] En Europe, on utilise le terme de « certificat d’obtention végétale », qui protège une variété. Son équivalent outre-Atlantique est le brevet, qui protège l’information génétique contenue dans une même variété. Du coup, il arrive qu’une plante fasse l’objet d’un double droit de propriété intellectuelle…

Source: Bastamag.net

 

A.HomeNaturo OverblogLa désobéissance civique doit maintenant devenir une nécessité dès lors qu'elle représente le refus de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent.
Selon John Rawls : " La désobéissance civile peut être définie comme un acte public, non violent, décidé en conscience, mais politique, contraire à la loi et accompli le plus souvent pour amener un changement dans la loi ou bien dans la politique du gouvernement. En agissant ainsi, on s’adresse au sens de la justice de la majorité de la communauté et on déclare que, selon une opinion mûrement réfléchie, les principes de coopération sociale entre des êtres libres et égaux ne sont pas actuellement respectés. "

[1 - source : wikipedia] 

Sans la liberté de semences notre monde, le vôtre, celui de vos enfants, court à sa perte, c'est de notre survie dont il s'agit !

Ne laissons pas le vivant devenir une propriété intellectuelle arbitraire au service des grands groupes financiers et au détriment de l'Humanité.

 

 

Pour plus d'infos consultez le dossier :

GRANDES CAUSES 

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 22:22

Ne laissons pas le vivant devenir la propriété de quelques-uns.

Les plantes et leurs semences sont les biens de l'Humanité tout entière !

 

HOMENATURO-ALIMENTATION BIOL'été est bel et bien la saison du repos, les lunettes de soleil sont sur tous les nez et la sieste endord la vigilance.

C'est donc cet été que des Grandes Manœuvres Secrètes sont entrées en action pour stopper la prolifération des compléments alimentaires, pour se faire et, en catimini, la Cour de Justice Européenne vient de déclarer par le fait que ceux qui voudront utiliser des semences traditionnelles devront être considérés comme hors la loi au même titre que des trafiquants de drogue !

 

Il est donc urgent  de soutenir l’action de l’association Kokopelli qui se bat pour conserver la diversité des semences ( pour le site cliquez: ICI )

et de voir ou revoir la vidéo la semence dans tous ses états ( pour la voir cliquez : ICI )

logoKOKOPELLI

 

Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi.

Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences.


Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal !


Soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, des paysans et des citoyens entrent en résistance.

Photo : source

Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres.

Des agriculteurs s’inquiètent d’une proposition de loi votée par les sénateurs le 8 juillet dernier, et déjà appliquée par décret aux productions de blé tendre. S’ils veulent conserver une partie de leur récolte pour la ressemer l’année suivante (quoi de plus naturel ?), les producteurs de blé tendre doivent payer une redevance appelée « Contribution volontaire obligatoire » (sic).  

« L’enjeu de cette nouvelle proposition de loi est d’étendre ce mécanisme à tous les paysans, alerte Guy Kastler, du Réseau semences paysannes. Chaque fois qu’on cultivera un hectare, ils prendront un peu d’argent de nos poches pour payer les détenteurs de propriété intellectuelle. »

La loi prévoit de considérer la reproduction de semences à la ferme, sans payer cette dîme moderne à leurs « propriétaires », comme une contrefaçon [1]. La récolte pourra alors être saisie. 

Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Depuis 1949, toute variété de semence mise sur le marché doit obligatoirement être inscrite sur le catalogue géré par l’Office communautaire des variétés végétales (OCVV), dont le siège est à Angers  [2]. Cet office accorde un droit de propriété intellectuelle, d’une durée de 25 à 30 ans, à « l’obtenteur », celui qui a sélectionné cette variété. Les principaux détenteurs de ces « certificats d’obtention végétale » [3] ne sont autres que les grandes multinationales semencières : Bayer, Limagrain, Monsanto, Pioneer, Vilmorin ou Syngenta. Tous réunis au sein de l’Union française des semenciers, qui aurait fortement appuyé le projet de loi.

Rendre les paysans captifs

« Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. En revanche, nous sommes opposés à ce que ces obtenteurs récupèrent des taxes sur le travail de sélection que nous menons dans nos fermes. » Avec d’autres paysans et des consommateurs soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, Jean-Pierre a fait le déplacement à Angers ce 19 novembre pour « débaptiser » l’OCVV, renommé « Office communautaire de la confiscation des semences ». Un geste symbolique qui en dit long sur les menaces pesant sur l’avenir de notre alimentation.

Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pour cet ancien porte-parole de la Coordination nationale pour la défense des semences fermières (CNDSF), l’objectif des firmes semencières est clair : « Elles veulent instaurer un marché captif, que les agriculteurs achètent leurs semences et qu’ils n’en fassent plus chez eux. La loi en préparation consiste non pas à interdire complètement mais à restreindre un maximum le droit des semences à la ferme. » Le texte propose ainsi d’autoriser la semence de ferme pour seulement 21 espèces – en échange du paiement de la Contribution volontaire obligatoire – et d’interdire cette pratique pour toutes les autres espèces.

« Ce n’est pas la recherche qu’ils veulent rémunérer mais les actionnaires »

Pourquoi cette redevance ? Officiellement, pour financer la recherche.

Actuellement, 85 % des sommes récoltées par la Contribution volontaire obligatoire sont reversées directement aux obtenteurs, et 15 % servent à alimenter le Fonds de soutien à l’obtention végétale en blé tendre. « Les objectifs de sécurité et de qualité alimentaire doivent être définis par le public, et non par les seules recherches de profits des entreprises semencières privées », argue la Confédération paysanne. D’après le syndicat, l’application de la proposition de loi entraînerait un prélèvement supplémentaire sur le revenu des agriculteurs français estimé à 35 millions d’euros. « La recherche doit être financée aussi par le public et non par les seuls agriculteurs. Il convient de mettre en place un mécanisme de financement public de la recherche », estime la Confédération paysanne. Le syndicat suspecte l’Union française des semenciers de vouloir d’ailleurs tripler la redevance (environ 3,50 euros par hectare aujourd’hui).

Des carottes illégales et des choux clandestins

Non loin de l’Office communautaire des variétés végétales, sur la place du Pilori, dans une rue piétonne d’Angers, se déroulent les rencontres des semences paysannes et fermières d’Anjou. Ici, des artisans semenciers partagent une même passion, celle de la sélection, de la conservation, de la multiplication et de l’échange des semences. François Delmond est membre de l’association Les Croqueurs de carottes, qui sauvegarde les variétés potagères traditionnelles menacées de disparition. Sur le stand, plusieurs variétés de carottes et de choux rouges sont proposées à la dégustation. Les réactions varient du « surprenante, celle-là » au « celle-ci a un goût de noisette très fort, vous ne trouvez pas ? ». Pour François, ces dégustations sont l’occasion de montrer l’impact des choix variétaux sur la qualité gustative.

« Ce que vous mangez est une variété de carotte illégale car elle a été radiée du catalogue, elle ne respectait pas les critères », explique François à une passante. Entre 1954 (date d’existence du premier catalogue des variétés de plantes potagères) et 2002, 80 % des variétés ont été radiées du catalogue, à cause d’une réglementation de plus en plus contraignante. « Ce que nous voulons, c’est la liberté de faire notre travail en âme et conscience, la liberté du jardinier de semer la variété qu’il veut et la liberté du consommateur d’accéder à des aliments différents. » Une liberté qui contribue à l’augmentation et à la conservation de la biodiversité cultivée, à la réduction de l’utilisation des pesticides ainsi qu’à l’essor de variétés adaptées à leurs terroirs et aux variations climatiques.

Rébellion contre la dîme des multinationales

Une campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs et des jardiniers sur les semences vient d’être lancée par plusieurs organisations. « Les droits des agriculteurs de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences, les protéger de la biopiraterie et des contaminations par les OGM brevetés, et de participer aux décisions nationales concernant la biodiversité cultivée sont reconnus par le Traité international sur les semences approuvé en 2005 par le Parlement français », rappelle Anne-Charlotte Moÿ, en charge des questions juridiques au Réseau semences paysannes. Or, une succession de règlements européens et de lois nationales conduisent progressivement à leur interdiction totale.


Quoi faire ? 

La proposition de loi relative aux certificats d’obtention végétale doit être débattue le 28 novembre à l’Assemblée nationale.

Il est toujours possible de participer à la cyberaction, qui a déjà recueilli plus de 14 000 signatures, et un rassemblement est prévu devant l’Assemblée. « Il nous faut rester mobilisés, avertit Guy Kastler, afin de ne pas abandonner l’alimentation à quelques firmes multinationales. » Il y a trois siècles, les paysans versaient la dîme ou étaient contraints à des corvées au profit du seigneur local, propriétaire des terres… Aujourd’hui, cette domination s’est déplacée vers les semences.

Sophie Chapelle

Notes

[1] Lire à ce sujet Comment les semenciers tentent d’asservir l’agriculture paysanne.

[2] Pour être inscrites, les variétés doivent répondre à trois critères : la distinction (la variété doit être nettement distincte de toute autre variété notoirement connue) ; l’homogénéité (la variété est suffisamment uniforme dans ses caractères pertinents) ; la stabilité (la variété reste conforme à la définition de ses caractères essentiels après avoir été reproduite ou multipliée).

[3] En Europe, on utilise le terme de « certificat d’obtention végétale », qui protège une variété. Son équivalent outre-Atlantique est le brevet, qui protège l’information génétique contenue dans une même variété. Du coup, il arrive qu’une plante fasse l’objet d’un double droit de propriété intellectuelle…

Source: Bastamag.net

 

A.HomeNaturo OverblogLa désobéissance civique doit maintenant devenir une nécessité dès lors qu'elle représente le refus de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent.
Selon John Rawls : " La désobéissance civile peut être définie comme un acte public, non violent, décidé en conscience, mais politique, contraire à la loi et accompli le plus souvent pour amener un changement dans la loi ou bien dans la politique du gouvernement. En agissant ainsi, on s’adresse au sens de la justice de la majorité de la communauté et on déclare que, selon une opinion mûrement réfléchie, les principes de coopération sociale entre des êtres libres et égaux ne sont pas actuellement respectés. "

[1 - source : wikipedia] 

Sans la liberté de semences notre monde, le vôtre, celui de vos enfants, court à sa perte, c'est de notre survie dont il s'agit !

Ne laissons pas le vivant devenir une propriété intellectuelle arbitraire au service des grands groupes financiers et au détriment de l'Humanité.

 


Pétition en aide à Kokopelli

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 15:29

 

 

Durant les mois de mai et juin 2012 paraissaient sur ce blog deux articles exposant le cas du Docteur Moulinier.

Le premier article s'intitulait : Le Docteur Moulinier appelle à l'aide ! il exposait " l'affaire Moulinier " et le second : Le Docteur Moulinier entendu à Paris le 12 juin 2012 résumait l'audition du Dr. Moulilier à Paris.

Aujourd'hui je laisse la parole au Docteur Moulinier en vous présentant un extrait de son blog ainsi que le compte rendu de son jugement. A la suite, vous trouverez l'article consacré à ce courageux médecin par la Revue ALIS (Association Liberté Information Santé) qui milite pour le choix thérapeutique.

 

La planète est à l'image du Titanic


Extrait du blog du Docteur Moulinier (...)

Sans aucune plainte de patient, sur la base d´un dossier construit uniquement par des pièces administratives récupérées par l´institution à l´origine de la plainte et responsable de mon jugement  je serai interdit  pour un an  de donner des soins aux assurés sociaux à partir du premier janvier 2013.

Je suis cependant toujours autorisé à soigner en France  les citoyens européens

(et autres) non assurés sociaux et en Espagne je reste toujours médecin espagnol y travaillant sans aucun souci et avec d´excellentes relations professionnelles et administratives …

Mon crime :

     Essayer d’appliquer à mes patients les traitements les plus adaptés et les moins toxiques possibles en essayant d’utiliser toutes les thérapeutiques disponibles que cela soit en cancérologie ou dans la prise en charge de maladies lourdes.

     Préférer à l’application stricte d’un protocole thérapeutique (très souvent peu efficace et en cours d’expérimentation) un traitement individuel respectant le désir du patient et privilégiant le résultat clinique  au dépend de la statistique.

(...) je vais continuer à me battre jusqu´au bout.

 

Lire le jugement b ok mod ident

Lire le blog du Docteur Moulinier b ok mod ident

 

Les professionnels et militants de la Santé Alternative

soutiennent le Docteur Moulinier


ALIS-MOULINIER

 

Au sujet du Docteur Moulinier

Le Docteur Moulinier entendu à Paris le 12 juin 2012

Le Docteur Moulinier appelle à l'aide !


Au sujet de la Santé Humaine : 

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Le Dr Alain Braillon, le médecin qui dérange...

Alerte : Le business de la santé et les vendeurs de maladies

Vers des expérimentations médicales humaines sans consentement !

Les maladies dégénératives en augmentation


Et de la Santé Animale : 

Les méthodes naturelles dans le soins aux animaux

Philippe Labre, vétérinaire Bio interdit d'exercer

 

 Pour ouvrir le débat et aller plus loin : 

Lettre ouverte d'un Naturopathe

Soutenir les associations

 

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 10:57

 

 

chevelure-6 Les cheveux : miroir de votre santé

Si la chevelure reflète l'état de santé, les traitements médicamenteux allopatiques peuvent l'altérer.

 

 

A la suite de traitements allopathiques vous avez peut-être constaté le changement de structure de vos cheveux. Partant du même constat, des scientifiques australiens de l'université de Melbourne ont découvert que certains médicaments contre l'acné, la dépression, la douleur ou pour la contraception (...), peuvent altérer la chevelure : faire tomber les cheveux, les rendre plus bouclés ou très raides, voire même les faire changer de couleur... 

Il est bien connu, par exemple, que les médicaments de chimiothérapie tuent les cellules et, partant, attaquent aussi les racines des cheveux. Mais ce ne sont pas les seuls.

 chevelure-3

La liste des médicaments allopathiques qui agissent et détériorent la structure capillaire est longue : antibiotiques, antidépresseurs, antalgiques..nombreux sont ceux dont les effets seront visibles sur la chevelure.

Selon l'étude, certains antidépresseurs comme le Prozac de même que de nombreuses pilules contraceptives à base de progestérone pourraient même les faire tomber légèrement, explique Sam Shuster, professeur de dermatologie de la Newcastle University. Chez un patient sur 100, l'ibuprofène utilisé sur le long terme provoquerait une chute de cheveux, un effet secondaire qui reste heureusement assez rare.

Du brun au roux 

Un traitement local de l'acné par rétinoïdes (un dérivé de la vitamine A), dégraderait temporairement la texture du cheveu, son aspect, sa couleur et sa densité. Enfin, des traitements contre le psoriasis changeraient la couleur des cheveux, les faisant passer du brun au roux ou les épaissiraient.

Une antibiothérapie longue peut, elle aussi, provoquer chevelure-8 une importante chute de cheveux.

 

chevelure-15

chevelureComment y remédier ?

Dans la majorité des cas ces changements capillaires sont temporaires et, la plupart du temps, réversible ... 

Pourtant, lors des traitements allopathiques (médicaments chimiques) autant agresser le moins possible la chevelure. 

 



De la douceur avant toute chose ! chevelure-4

Durant tout le traitement médicamenteux soyez doux avec vos cheveux.

Les colorations seront à éviter, de même que la laque ou les gels coiffants. Quant aux shampooings ils devront être les plus doux possibles et bio. Le sèche-cheveux, qui dessèche le cuir chevelu, sera oublié ou utilisé avec la chaleur la plus douce. Brossez vos cheveux chevelure-5 avec une brosse soyeuse. Attachez vos cheveux le moins possible et jamais avec un élastique.

chevelure-16Quels soins apporter à des cheveux fragilisés ?

Avant tout, nourrissez votre chevelure.

Selon la nature du cheveu et ses besoins spécifiques pourront être utilisés : les masques chevelure-7 à base d'oeufs, d'argile, de germe de blé, d'huile d'argan ou d'olive.

chevelure-17

Au moment du rinçage utilisez une décoction de camomille pour les cheveux blonds ou un rinçage au vinaigre de cidre pour tous les cheveux.

Des lotions d'hydrolats de menthe ou de lavande appaiseront le cuir chevelu et des lotions d'ortie (pour les cheveux foncés) stimuleront leur repousse. Plusieurs chevelure-18 huiles essentielles sont utilisées pour stimuler la repousse ou assainir la fibre capilaire : utilisez-les !

Quelques huiles essentielles à ajouter à un masque à l'huile d'argan ou d'olive ou à une lotion capilaire à l'ortie :   

4 gouttes d'Huile Essentielle à choisir selon les propriétés voulues :

Carotte (Action Stimulante)

Cèdre (Action Stimulante et assainissante, contre les cheveux gras)

Génévrier (Action Stimulante)

Géranium (Action Stimulante et anti-pelliculaire)

Lavande (Action Stimulante, assainissante, anti-pelliculaire et brillance ) 

Menthe douce (Action Stimulante et assainissante)

Petit Grain (Action Tonique et régulatrice)

Romarin (Action Tonique, Stimulante, anti-pelliculaire, régulatrice et brillance)

Tee-tree (Action anti-pelliculaire  et assainissante, contre les cheveux gras)

Thym ou (Action Stimulante, anti-pelliculaire  et assainissante, contre les cheveux gras)

Ylang-Ylang  (Action Tonique, Stimulante et réparatrice)

 

Rincez vos cheveux à l'eau tiède chevelure-9 et utilisez très peu de shampooing

chevelure-11Chaque soir, massez-vous le cuir chevelu pour stimuler le bulbe, il existe même des outils spécifiques chevelure-20 pour le massage du cuir chevelu.

Surveillez votre alimentation

Votre aliementation est votre alliée, alors pensez aux oléagineux, aux huîtres, à l'huile d'olive, aux oeufs, évitez l'alcool et le tabac. Faites-vous une cure de graines germées et buvez de l'eau. Respectez un bon rythme de sommeil, grand régénérateur de cellules.

Il existe des compléments alimentaires efficaces, REMEDES demandez conseils à votre magasin bio, votre naturopathe ou votre pharmacien en indiquant bien quel traitement allopathique vous suivez.

 

Enfin dans le cas où la chute de cheveux vous semble trop importante parlez-en à votre médecin.

 

chevelure-2

 

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 15:53
A François Hollande :
Pétition pour faire annuler la condamnation de Kokopelli

Kokopelli est une association à but non lucratif, fondée en 1999 qui maintient une collection planétaire unique, de plus de 2 200 variétés de plantes potagères, céréalières, médicinales, condimentaires, ornementales et une gamme de variétés très peu cultivées, peu connues, voire en voie de disparition. Elle place son action dans l’objectif solidaire de développer des projets d’aide envers les communautés démunies (183 en 2011). Kokopeli est attaquée aujourd'hui par un grainetier, Graines Baumaux.logoKOKOPELLI

Cette Société par actions simplifiée au capital de 1 000 000 d’euros, dont le chiffre d’affaires 2011 s’élève à hauteur de 13 952 923 € et le bénéfice 2010 à hauteur de 2 005 251 €, commercialise 2 835 variétés de graines potagères, florales, aromatiques, médicinales, fourragères et dites engrais verts. 

Le Tribunal de Grande Instance de Nancy et la Cour de Justice de l’Union Européenne ont condamné l’association Kokopelli, pour concurrence déloyale vis-à-vis de l’entreprise Graines Baumaux, à verser 100 000 € de dommages-intérêts à Graines Baumaux, ce qui pourrait la forcer à cesser ou modifier ses activités. 

Il est donc demandé au Président de la République, François Hollande, la traduction du Traité International sur les Ressources Phytogénétiques pour l’Agriculture et l’Alimentation (TIRPAA) dans notre législation nationale.

Ce Traité, voté par la France en 2002 et approuvé nationalement en 2005, reconnaît aux agriculteurs et aux jardiniers le droit de conserver, utiliser, échanger et vendre les semences ou le matériel de multiplication reproduits à la ferme sur son territoire. Il reconnaît la contribution des agriculteurs à la conservation de la biodiversité et stipule que rien ne peut entraver leurs droits de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences reproduites à la ferme. 

Il est de plus réclamé de faire respecter l’autorisation d’approbation du TIRPAA votée en 2005, en interdisant tout droit de propriété intellectuelle sur le vivant et en limitant les normes commerciales et les droits des obtenteurs là où commencent ceux des agriculteurs, et l’abrogation de la Loi du 28 novembre 2011 relative aux certificats d’obtention végétale. 


Texte repris de la lettre de Monsieur René Balme, Maire de Grigny au Président de la République 

 

Sur le même sujet :

 

Kokopelli, mais c'est quoi donc ?

La Naturopathie et la BIO

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

 

 

Visionnez cette vidéo images[19] pour bien comprendre ce que réalise pour NOUS l'Association Kokopelli

 

Sur le même sujet lire :

Acheter des légumes bio, serait-ce hors la loi ? 13/09/2011
Pour l'EFSA, manger bio préserve bien la santé ! 11/11/2011
Loi sur les semences : le germe de la colère 19/12/2011
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Dans la presse : la Drôme premier département BIO ! 01/03/2012
La bio à la campagne...présidentielle

25/01/2012

 

 

Signer la pétition ici : picto petition 

 

 

 

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