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Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

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11 mars 2012 7 11 /03 /mars /2012 18:19

Risques du  nucléaire civil, coût de l'énergie nucléaire en France, Démentèlement des centrales Française : exemple de Brennilis, stock des comprimés d'iode ou transparence de l'information du public liée aux activités des Centrales Nucléaires en France, cet article tente de faire un tour d'horizon de la politique nucléaire en France, 1 an après Fukushima.Sur le Blog de naturopathe HomeNaturo-naturopathie et iridologie consultation à domicile ou par téléphone.

 

NUCLEAIRE 11 mars 2011-11 mars 2012,

1 an après la catastrophe de Fukushima,



L' Energie Nucléaire en France c'est :


- La sécurité absolue

contre des tentatives d'intrusion ou 

des tentatives d'attentats à l'intérieur des centrales 

CENTRALES GREENPEACE

Neuf militants Greenpeace se sont introduits dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine le 5 décembre 2011 et deux autres sont restés cachés quatorze heures dans la centrale de Cruas.

Le tribunal de Privas a relaxé les « deux de Cruas » en raison de l’annulation de leur garde à vue. Quant au tribunal de Troyes, il s’est déclaré incompétent, estimant qu’il ne s’agissait pas d’une violation de domicile, comme le procureur l’avait plaidé, mais bien d’une intrusion sur un site intéressant la défense nationale, ce qu’avait défendu l’avocat de Greenpeace.

Pour plus détails, suivez le récit des procès ici b ok mod ident.

 

L' Energie Nucléaire en France c'est :

 

- la sécurité absolue des infrastructures,d'autant que, comme

nous l'ont affirmé tous les gouvernements successifs de la

France, celle-ci n'a à craindre ni les tsunamis, ni les

tremblements de terre 

26 février 2012 Un tremblement de terre a réveillé de nombreux habitants de Charente-Maritime ce dimanche matin  à 4h51, selon «Sud Ouest». L'épicentre de ce séisme de 3,8 sur l'échelle ouverte de Richter se situe dans la ville ostréicole de Marennes, près de l'île d'Oléron.

Carte seisme Embrun

26 février 2012 Un séisme de magnitude 4,9 a été ressenti ce dimanche soir dans le Var et les Alpes-maritimes. Son épicentre a été localisé dans les Hautes-Alpes.

27 février 2012 le Bureau central de sismologie français a enregistré ce lundi une nouvelle secousse, de magnitude 4, lundi dans les Alpes de Haute-Provence.

 

"Le séisme de dimanche est la plus forte secousse, dont l'épicentre se trouve sur le territoire français, depuis 1959", explique Sophie Lambotte sismologue, responsable du Réseau national de surveillance....

Comment analysez-vous l'activité sismique dans cette région ?
L'épicentre du phénomène de dimanche soir se trouve dans la zone sismique de l'arc briançonnais. Dans cette région, nous observons régulièrement des crises sismiques avec plusieurs milliers d'événements de magnitude 2 voire 3.

Ces secousses rapprochées sont-elles annonciatrices d'un plus gros séisme dans la région ?
Ce n'est pas à exclure. La sismicité de la mer Ligure entre la Côte d'Azur et la Corse est une zone à risques. Elle est très surveillée. Nous ne sommes pas à l'abri d'un gros tremblement de terre

Vendredi 2 mars : Un nouveau séisme, d'une magnitude de 4,1 sur l'échelle de Richter, s'est produit vendredi matin dans les Alpes de Haute-Provence, selon le Bureau central de sismologie français, le troisième cette semaine.

Ce tremblement de terre qualifié de «modéré», «vraisemblablement une réplique» nouvelle dans la série commencée dimanche soir, a été ressenti dans un rayon d'une soixantaine de kilomètres autour de l'épicentre, situé près de Barcelonnette. La Haute vallée de l'Ubaye est «connue pour des crises sismiques (nombreux petits séismes) associées à des périodes relativement longues après le choc principal», selon la même source. Ainsi, en 2003-2004, plus de 16 000 séismes avaient été enregistrés par l'observatoire régional Sismalp de Grenoble. «Il est donc tout à fait possible que d'autres séismes se produisent encore dans les semaines ou les mois qui viennent sur ce secteur», ajoute le Bureau central de sismologie français. 


Il est intéressant de juxtaposer  les sites d'implantation des centrales nucléaires en France

 

CENTRALES NUCLEAIRES EN FRANCE

 

les failles sismiques Françaises : carte-aleas-sismiques-nuclerair-france.jpg

 

    NUCLEAIRE SEISMES FRANCE macro 12 mois  

et la carte des Epicentres des séismes ayant généré une alerte au cours des 12 derniers mois (année 2011/2012).

Source crédit photo : Bureau Central de sismologie Français 

 

 

 

 

 

 

 

   

L' Energie Nucléaire en France c'est :


-  L'indépendance énergétique 


Alerte “orange” pour les 1er et 2 février 2012

secupaca.jpgEn raison des températures exceptionnellement basses, la consommation électrique de région PACA est susceptible d’atteindre un niveau important (proche des 6500 MW) dès ce soir, 1er février.

Les Alpes-Maritimes, le Var et Monaco ont été placés en alerte orange par RTE pour la journée de jeudi, dans le cadre du dispositif Ecowatt visant à passer sans coupures les pics de consommation d'électricité, a-t-on appris mercredi dans un communiqué.

Les consommateurs sont ainsi invités à modérer leur consommation d'électricité jeudi particulièrement entre 18H et 20H, les prévisions de consommation s'annonçant élevées pour cette journée où les températures devraient atteindre jusqu'à -2° dans la nuit, selon la filiale d'EDF en charge du réseau national à haute tension.

Dans ces conditions, le réseau régional de transport de l’électricité pourrait atteindre ses limites de fonctionnement.

Avec le recours massif et typiquement français du chauffage électrique, en particulier dans l’habitat locatif, donc mis en place par les gouvernements successif et, malgré son parc nucléaire et son “ indépendance énergétique “, la France importe massivement de l’électricité de ses pays voisins. Et, le pays avec lequel la France échange le plus d’électricité est… l’Allemagne. Mais pas pour voler au secours de ces Allemands qui ont dû fermer leurs réacteurs, en leur vendant de notre électricité… Non : le dernier relevé mensuel de RTE (Réseau de transport d’électricité), en date de décembre 2011 et arrêté au 6 janvier 2012, était catégorique. En décembre 2011, la France aura vendu 613 GWh à l’Allemagne, mais en aura importé 884 GWh… Soit un solde exportateur déficitaire de -271 GWh, au crédit de l’Allemagne.

Aujourd’hui, la France est le seul pays en Europe à promouvoir le chauffage électrique : une option aussi chère qu’inefficace, qui prend des millions de Français au piège de la précarité énergétique, et qui n’a été développée que pour écouler la production d’électricité nucléaire. Par ailleurs, le pic de consommation généré par les millions de convecteurs français propulse nos émissions de CO2 vers le haut.

 

L' Energie Nucléaire en France c'est :


NUCLEAIRE-2

-  Une énergie propre, économique et

écologique 

 

Proposée par le WWF en mai 2011, de l’idée d’un audit des coûts du nucléaire est sorti : Le rapport sur les coûts du nucléaire publié le mardi 31 janvier 2011 par la Cour des Comptes.

Malgré plusieurs impasses, il met à mal le mythe du nucléaire bon marché et des coûts maîtrisés de l’atome, plaçant les décideurs dans l’obligation d’effectuer des choix.

Quelques points forts émergent de ce rapport :

Un investissement initial lourd et des charges futures incertaines.

Un coût de construction qui augmente : en 22 ans le coût de construction a été multiplié par deux, passant de 1.7 Md'€ en 1978 (centrale de Fesseheim) à 2,6 Md'€ en 2000.

Des dépenses de recherche importantes : avec 1 Milliard d'€uro en moyenne par an. Autrement dit, autant d'investissements qui ne sont pas allés aux énergies renouvellables.

Augmentations prévues : charges de maintenance, coût de production globale, dépenses de démentèlement.

 Déchets nucléaires, un fardeau trop lourd même calculé de manière incomplète.

Le démentèlement est abbérant : Les dépenses pour le démantèlement des 58 réacteurs français en fonctionnement – sans inclure la dépollution des sites - sont estimées à 18,4 milliards d’euros, suite à un calcul d’EDF que la Cour des Comptes refuse de cautionner. Rappelons  qu’en Suisse, 17,5 milliards d’euros sont prévus pour le démantèlement de… 5 réacteurs.


L'après Fukushima en France
Voir la vidéo f rond dro

 

La prolongation des réacteurs existants entraînera des coûts impressionnants : Selon EDF, il serait nécessaire d’investir pour cela 50 milliards d’€ sur quinze ans, et 55 milliards si l’on intègre les dépenses prévues pour améliorer la sûreté suite à Fukushima. Cela nécessiterait d’investir 3,7 milliards d’euros par an.

La problématique du coût d'un accident en France : Si un accident survenait maintenant, seuls 90 millions d’euros seraient à la charge de l’exploitant, alors qu’une catastrophe comme celle de Fukushima se chiffre en milliers de milliards d’euros…

Lire le rapport complet de la cour des Comptes f rond dro

Lire le communiqué de presse de la cour des Comptes f rond dro

Conclusion de la Cour des Comptes :(...) " La Cour constate que d’ici la fin de l’année 2022, 22 réacteurs sur 58 atteindront leur quarantième année de fonctionnement. Par conséquent, dans l’hypothèse d’une durée de vie de 40 ans et d’un maintien de la production électronucléaire à son niveau actuel, il faudrait un effort très considérable d’investissement équivalent à la construction de 11 EPR d’ici la fin de 2022. La mise en oeuvre d’un tel programme d’investissement à court terme paraît très peu probable, voire impossible, y compris pour des considérations industrielles.
Cela signifie qu’à travers l’absence de décision d’investissement, une décision implicite a été prise qui engage déjà la France : soit à faire durer ses centrales au-delà de 40 ans, soit à faire évoluer significativement et rapidement le mix énergétique vers d’autres sources d’énergie, ce qui suppose des investissements complémentaires.
Quels que soient les choix retenus, afin de maintenir la production actuelle, des investissements importants sont à prévoir à court et moyen terme représentant a minima un doublement du rythme actuel d’investissement de maintenance. Ce doublement fera augmenter le coût moyen de production de l’ordre de 10 %.
La Cour juge souhaitable que les choix d’investissements futurs ne soient pas effectués de façon implicite mais qu’une stratégie énergétique soit formulée, débattue et adoptée en toute transparence et de manière explicite. "


Des solutions existent : arrêt de la production d’électricité pour l’export, de l’auto-consommation de la filière nucléaire, utilisation maximum des capacités hydroélectriques et des centrales thermiques classiques existantes (charbon, fioul, gaz). Nous savons que de nouvelles centrales thermiques au gaz ou charbon peuvent être construites très rapidement, et que le remplacement des centrales nucléaires par du thermique classique n’influera que très marginalement sur les émissions globales de gaz à effet de serre.

Penser économie d'énergie, par exemple, saviez-vous que : Chaque panneau publicitaire vidéo, fonctionnant en permanence, consomme autant que 3 ménages français, sont-ils d'une absolue nécessité ?

Autre exemple : Selon le cabinet Enertech, il est possible d’économiser immédiatement 30 % d’énergie sur la consommation des bâtiments grâce à des mesures très simples, comme éteindre tous les équipements qui ne devraient pas fonctionner la nuit et le week-end.

 

Aucune solution énergétique est 100 % écologique ou 100 % économique, ce qui est certain, en revanche, c'est qu'aucune des alternatives au nucléaire énergétique ne présente de dangers de contamination radioactive à court, moyen et long terme.

 

L' Energie Nucléaire en France c'est :


-  La gestion raisonnée des infrastructures en fin de vie

 

Que se passerait-il si l'on ne démantelait pas ?

 Question à un responsable du centre d'ingénierie de la déconstruction d'EDF :

 Réponse : - «Je ne le sais pas et c'est justement pour cela qu'il faut déconstruire».  

Les Japonais estiment qu’il leur faudra 40 ans pour démanteler la centrale de Fukushima. En France, cela fait presque 30 ans qu’EDF tente de déconstruire celle de Brennilis en Bretagne.


Centrale de Brennilis, Finistère, Bretagne. En quelques dates :

1966 : Inauguration de l'unité à eau lourde de Brennilis.

1985 : Arrêt de la centrale. Le prototype ayant été jugé obsolète après avoir fourni au total 6,2 milliards de KWH, soit l'équivalent de la consommation annuelle de la ville de Paris.

1989 : Election du maire de Brennilis, Olivier Herry, un ancien du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA). Son élection était du au fait qu' était particulièrement bien placé pour négocier cet "après nucléaire". Des projets, il n’en manquait pas qui le faisaient "rêver la nuit" : dans l’agro-alimentaire, dans le tourisme...

1994 : Olivier Herry jetait l’éponge. En démissionnant de son poste de maire il n’hésitait pas à accuser : sur les 13,5 millions d’aides attribuées par EDF et le CEA, un million seulement était arrivé jusqu’à Brennilis, le reste s’était "évaporé" !

1995 : Après 10 ans de réflexion EDF et le CEA déclarent : " vouloir faire de cette opération de démentèlement un vitrine " pour cette première centrale Française à faire l'objet d'un démentèlement total et promettent : " le retour à l'herbe " après une mise au repos du réacteur pendant...50 ans ! - " Nous voulons un retour à l'herbe immédiat " s'insurgeat alors Jean-Yves Cozan, conseiller général de canton et député, pourtant partisan déclaré du nucléaire.

2007 : Des association dénoncent l'absence de toute enquête publique, indépendante et préalable, s'opposant ainsi au démentèlement partiel.

2007 : La Criirad, après une expertise indépendante rend son rapport d'analyses notamment sur des prélèvements de sédiments, sols et mousses prélèvés à proximité de la centrale nucléaire de Brennilis en 2006 :  activité très supérieure aux limites de détection.Brennilis0001-f0023

Le rapport complet de la CRIIRAD 

2008 : BRENNILIS Demantelement 1photo : ©  Vivement Lundi ! / France 3 Ouest Sortie du film documentaire de Brigitte Chevet : " Brennilis, la centrale qui ne voulait pas s'éteindre " voir la vidéo f rond dro Le DVD est disponible sur ce site.  

2009 : Démarrage de l'enquête publique le 27 octobre par EDF.

2010 : L'avis défavorable de la commission d'enquête, du 25 mars 2010, bloque la poursuite du démantèlement de la centrale en raison de son caractère prématuré et potentiellement dangereux.

2011 : EDF propose à une vingtaine d'élus locaux la construction d'une centrale à gaz sur le site de la centrale de Brennilis. Ce nouveau projet est une abbération écologique et économique. Voir l'article de presse f rond dro

2012 : Un chantier toujours jugé à risques. Le démentèlement est, de nouveau à l'ordre du jour, le chantier préparatoir a déjà commencé, bien qu'aucune solution de traitement des déchets radioactifs n'ait été trouvé. Les combustibles usagés et fluides contaminés déjà évacués ont été entreposés à Cadarache « dans l'attente de traitement approprié », selon EDF; à terme, les déchets les plus radioactifs seront stockés dans la future unité dédiée au Bugey (Ain)

2020-2030 : Le démentèlement devrait être terminé.


La sécurité du site de Brennilis :

BRENNILISLes bâtiments non nucléaires ont, depuis bien longtemps, été démoli, mais il reste, au beau milieu de la nature – le Parc Naturel Régional d’Armorique des Monts d’Arrée -, et entouré d'un simple petit grillage, le réacteur et les échangeurs irradiés.

Décembre 2000 une montée de la nappe phréatique provoque une inondation dans la station de traitement des effluents.

Janvier 2001 : départ de feu dans un joint inter-bâtiment de la centrale.

Juillet 2010 : Après une intervention à la centrale de Brennilis, un salarié d' une entreprise extérieure a fait un malaise. La personne, de nouveau consciente, a été évacuée vers l'hôpital le plus proche. Cet intervenant effectuait des travaux de maintenance en zone nucléaire sur une pompe, dans le cadre d'un essai périodique sur le circuit de collecte d'effluents.
Les analyses pour déterminer les circonstances de ce malaise sont en cours.

Mars 2012 : Mercredi 29 février dernier, deux salariés qui travaillaient à la découpe d'un tronçon de gaine dans l'enceinte du bâtiment réacteur de la centrale de Brennilis, ont observé sur celui-ci une tâche de mercure d'environ 5 cm2. Cela avait entrainé la fermeture immédiate de la zone du chantier (voir l'information mise en ligne le 2 mars sur edf.com)
Les résultats des analyses, demandées pour tous les intervenants présents dans le local, par le service médical, sont négatifs.


Le coût du démentèlement-vitrine de Brennilis :

Le coût du démantèlement avait été évalué en 2005, à 482 millions d'euros par la Cour des comptes, soit 20 fois plus que l'estimation de la commission PEON qui est à l'origine du parc nucléaire actuel.

 

Les informations autour de la centrale de Brennilis :

Le coût précis du démantèlement est toujours inconnu.

La cartographie exacte des contaminations n'a jamais été diffusée, a-t-elle seulement été établie ?

L'inventaire radiologique initial n'a jamais été effectué.

Les problèmes de sécurité comme le risque d'incendie dans la cuve, par inflammation du zircaloy au moment de son ouverture ne sont pas clairement identifiés.

Les garanties de dépollution totale ne sont pas clairement données.

 

Spécificités de la centrale de Brennilis :

La centrale de Brennilis était une petite centrale de 70 MW.

La centrale de Brennilis devait être un modèle de fonctionnement et de démentèlement.

La centrale de Brennilis devait être la vitrine du Nucléaire civil Français.

Durée de vie de la Centrale de Brennilis : 19 ans

Quantité d'énergie produite : 6,2 milliards de KWH soit 1 année de la consommation électrique de Paris.

Durée de mise en chantier du démentèlement : 27 ans

Durée totale prévue du démentèlement : 35 voire 45 ans

Estimation des déchets : environ 100.000 tonnes de déchets - dont 20% radioactifs- déjà déblayés, aucune estimation des déchets restant.

Garantie totale de décontamination du site : aucune.

La centrale de Brennilis est située dans les Monts d'Arrée, le "Yeun Elez " en Breton. C'est là que la tradition bretonne situait la porte de l'enfer...

 

Sources :  Association S-eau-S (qui publie un passionnant historique de Brennilis)- AFP - Agence Bretagne Presse - Annuaire des Mairies de France, Brennilis - Ouest-France - Le Télégramme -  Association sortons du nucléaire - CRIIRAD - Production vivement lundi ! - Office de Tourisme des Monts d'Arrée - EDF - AREVA - CEA - France 3 - TF1-...etc.


L' Energie Nucléaire en France c'est :


-  La sécurité sanitaire absolue  des riverains des centrales 


NUCLEAIRE-4

 

Un "excès de cas" de leucémie chez des enfants de moins de 15 ans a été observé autour de dix-neuf centrales nucléaires françaises sur une période de six ans. L'étude relève quatorze cas de leucémie d'enfants dans un rayon de moins de cinq kilomètres autour des dix-neuf sites nucléaires sur la période de 2002-2007, alors que les taux d'incidence nationaux prédisaient la survenue de 7,4 cas en moyenne. Des études sont toujours en cours.

 

 

 

L' Energie Nucléaire en France c'est :


-  La transparence gouvernementale liée aux risques

sanitaires 

 

13 juin 2006 : La loi sur la transparence et la Sécurité en matière Nucléaire demande aux exploitants nucléaires de rédiger un rapport présentant leur bilan en matière de sûreté, de radioprotection et d'environnement.

26 avril 1986, catastrophe à la centre de Tchernobyl

29 avril 1986 : Le gouvernement français annonce et estime alors qu’aucune mesure particulière de sécurité n’est nécessaire. Le Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), placé sous la direction du professeur Pierre Pellerin et sous la tutelle du ministère de la Santé, annonce par un premier communiqué qu'« aucune élévation significative de la radioactivité n'a été constatée »

Nucléaire-carte

Le 30 avril, la présentatrice Brigitte Simonetta annonce dans un bulletin météorologique d'Antenne 2 que la France est protégée du « nuage » par l’anticyclone des Açores. Selon Michèle Rivasi, « par la suite, nous avons su qu'il s'agissait d'un ordre qui avait été donné à la météo d'agir ainsi... ».

 

capture d'écran de la carte météo diffusée sur France 2 le 30/04/86

 

2 mai 1986, le même professeur Pellerin diffuse un communiqué selon lequel « les prises préventives d'iode ne sont ni justifiées, ni opportunes » et « il faudrait imaginer des élévations dix mille ou cent mille fois plus importantes pour que commencent à se poser des problèmes significatifs d'hygiène publique»

12 aout 2011, toute la presse Française révèle : Une étude prouve l'augmentation des cancers de la thyroïde en Corse après Tchernobyl. Depuis 25 ans, des médecins corses constatent une recrudescence des cancers de la thyroïde. Une nouvelle étude démontre un lien avec la catastrophe nucléaire de Tchernobyl...  

7 septembre 2011, la cour d'appel de Paris a ordonné un non-lieu à l'ancien patron du Service central de protection contre les rayons ionisants (SCPRI), le professeur Pierre Pellerin. Mettant un point final à l'enquête ouverte en 2001 sur l'impact du nuage dans l'hexagone. Une décision conforme à la demande du ministère public.

 

L' Energie Nucléaire dans le Monde c'est :


-  La transparence et l'indépendance en matière de sécurité sanitaire de L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) 

 

OMS-LOGO-L’accord WHA12-40 ou accord OMS/AIEA

ACCORD ENTRE L’AGENCE INTERNATIONALE DE L’ÉNERGIE ATOMIQUE ET L’ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ Voir l'accord dans son intégralité : b ok mod ident

Adopté par la Première Assemblée mondiale de la Santé le 17 juillet 1948 cet accord stipule, entre autre : " L’Agence internationale de l’Énergie atomique et l’Organisation mondiale de la Santé conviennent que, en vue de faciliter la réalisation des objectifs définis dans leurs actes constitutionnels respectifs, dans le cadre général établi par la Charte des Nations Unies, elles agiront en coopération étroite et se consulteront régulièrement en ce qui concerne les questions présentant un intérêt commun. "

A ce jour, l'OMS ne reconnait que 50 morts des suite de la catastrophe de Tchernobyl.

 

-  La prise en charge efficace et rapide des populations par les gouvernements en cas d'accidents nucléaires civils 

 

 

Communiqué de presse AFP

FUKUSHIMA, 1 an après NUCLEAIRE EXPLOSION FUKUSHIMA

06/03/2012 

FUKUSHIMA (Japon) -

Un an après avoir été forcés d'abandonner leur domicile à cause de la catastrophe nucléaire de Fukushima, des dizaines de milliers de réfugiés vivent toujours dans l'incertitude du lendemain, sans savoir quand -- ou si -- ils pourront rentrer chez eux.

Certains de ceux qui ont fui les nuages radioactifs crachés par les coeurs de réacteurs en fusion après le passage du tsunami le 11 mars 2011 pourraient être autorisés à revenir d'ici quelques années, une fois les localités décontaminées.

Mais d'autres risquent d'attendre des décennies, car certaines villes sont devenues trop dangereuses et inhabitables.

Douze mois après le désastre, peu de réfugiés ont reçu les indemnités espérées de la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), qui gère la centrale Fukushima Daiichi.

(...)

"Nous sommes toujours vivants. Nous ne sommes pas encore morts", affirme un riziculteur de 70 ans, dont les rizières étaient situées à quatre kilomètres seulement de la centrale.

"Certains disent qu'on pourra rentrer chez nous dans 30 ou 40 ans, mais comment va-t-on vivre jusque là ? ", ajoute le vieil homme qui a refusé de donner son identité.

Près de 2 millions de personnes devraient recevoir des dédommagements de Tepco, parmi lesquels les réfugiés expulsés d'une zone de 20 kilomètres de rayon autour de la centrale accidentée.

Les avocats des victimes accusent Tepco de traîner les pieds pour compenser les biens - terrains et habitations - devenus invendables à l'intérieur de la zone d'exclusion.

Outre le remboursement de frais occasionnés par l'évacuation forcée, l'opérateur a offert de verser une indemnité pour "souffrances mentales" de 120.000 yens (1.200 euros) par mois, mais exige que les bénéficiaires renouvellent leur demande tous les trois mois, via une procédure longue et complexe.

Tsutomu Aoki, l'un des avocats qui aident les réfugiés originaires de Futaba, agglomération où a été construite la centrale, ne décolère pas contre la lenteur des versements.

"Ces personnes évacuées ont besoin d'argent pour vivre", dit-il. "Leur problème est de savoir pendant combien de temps cet argent sera versé. Tepco n'a montré aucune considération pour leurs conditions de vie."

Pour les 1,5 million de personnes en dehors de la zone d'exclusion qui ont vu leurs terres agricoles polluées et leurs commerces fermés, l'opérateur offre une indemnité de 400.000 yens (4.000 euros) pour les femmes enceintes et les enfants, montant auquel s'ajoutent 200.000 yens (2.000 euros) s'ils se sont enfuis volontairement, et seulement 80.000 yens (800 euros) pour tous les autres.

Ce versement unique est censé couvrir la période allant de la catastrophe au 31 décembre de l'an dernier.

La société n'a encore rien prévu pour la suite, mais exige de ceux qui acceptent ces sommes de s'engager à ne pas réclamer d'autre compensation pour cette période.

L'avocat Izutaro Managi estime injuste que Tepco essaye de clore ces dossiers, alors que les effets des radiations peuvent n'apparaître qu'après plusieurs années.

"L'accident n'est pas terminé et les victimes n'évaluent pas encore clairement les dommages subis", explique-t-il.

Une porte-parole de Tepco a indiqué que le groupe essayait de régler les dossiers en attente et avait pour cela augmenté le nombre de personnes chargées de leur traitement de 3.000 à 10.000.

Pour le cultivateur Mamoru Narita, qui vit à Koriyama, à une soixantaine de kilomètres à l'ouest de la centrale, les 80.000 yens auxquels il a droit ne sont qu'une infime partie de ce qu'il estime avoir perdu dans la catastrophe.

"Je faisais pousser mon riz sans engrais ni pesticides, afin de garantir une sûreté alimentaire et protéger l'environnement", rappelle M. Narita, 61 ans.

"Aujourd'hui, tout l'environnement a été pollué et nous ne recevons que cette somme? Est-ce que nous les agriculteurs, nous devons rester sans rien faire?"

Mia Isogai, 31 ans, qui a fui avec son mari et son fils de 2 ans vers la ville de Yokohama (sud de Tokyo), affirme que sa famille est au bord de la ruine.

"On se nourrit grâce à mon salaire à mi-temps. Mais on ne peut pas payer le loyer", dit-elle, ajoutant que son mari n'a pas encore retrouvé de travail.

La famille doit recevoir au total 760.000 yens de Tepco, soit trois mois de salaire moyen au Japon.

"Notre propriétaire a dit qu'il ne demandait pas de loyer jusqu'à l'été. Mais ça va venir vite et je ne sais pas ce qu'on fera après."

Source : © AFP


La France et les comprimés d'iode :

Bien que les autorités françaises, comme l'a affirmé Nicolas Sarkozy en personne, considèrent notre industrie atomique comme « l'une des plus sûres au monde », elles n'écartent cependant pas l'éventualité d'un accident nucléaire. Cet été, les préfets et les directeurs des Agences régionales de santé (ARS) ont reçu une circulaire leur enjoignant de renouveler le stock de pastilles d'iode et de réorganiser son mode de distribution.

Au lendemain de la catastrophe nucléaire de Fukushima, en mars dernier, un début de psychose s'était emparé de la population française : la pharmacie centrale des armées avait reçu des centaines d'appels de particuliers et d'officines désireux de se procurer des pastilles d'iode. Heureusement, si le « nuage » japonais a bien atteint l'Hexagone, la radioactivité mesurée a été extrêmement faible, sans commune mesure avec celle relevée au Japon et dans le Pacifique.

Ces fameuses pastilles d'iode ont pour objectif de saturer la glande thyroïde d'iode stable ; elles évitent ainsi que l'iode radioactif répandu dans l'atmosphère se fixe sur l'organe et provoque un cancer à plus ou moins long terme.

Tests de stabilité

Dans le cadre du plan Orsec-iode, 110 millions de comprimés (1) dosés à 65 milligrammes ont été commandés à la pharmacie centrale des armées en remplacement des comprimés disponibles actuellement et dont la date de péremption avait été prolongée par les autorités sanitaires jusqu'au 31 décembre… ce que n'ont pas manqué de reprocher les militants antinucléaires.

Visant à protéger la population « en cas de rejet d'iode radioactif dans l'atmosphère », le plan Orsec-iode existe depuis novembre 2001, soit deux ans après l'inondation de la centrale du Blayais située en Haute Gironde.

Le coût d'achat des nouveaux comprimés se monte à 5 millions d'euros (dont 700 000 euros pour la zone Sud-Ouest). Mais, par souci d'économie, il n'est pas exclu que la durée de vie des nouvelles pastilles, initialement fixée à quatre ans, soit revue à la hausse. Tout dépend, indique le directeur de l'Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (2), « des tests de stabilité en temps réel effectués par le fabricant et dont les résultats sont validés par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé ».

Une telle quantité de comprimés est destinée à combler les besoins français en cas de catastrophe touchant les installations nucléaires. Le Grand Sud-Ouest en compte huit : les quatre réacteurs de la centrale du Blayais, les deux réacteurs de Golfech, non loin d'Agen, dans le Tarn-et-Garonne, et les deux réacteurs de Civaux dans la Vienne, au nord de Poitiers.

Les habitants vivant dans un rayon de 10 kilomètres autour d'une centrale atomique (la zone couverte par un plan particulier d'intervention) possèdent leurs propres pastilles d'iode, distribuées lors de campagnes récurrentes. Dans le cas du plan Orsec-iode, il s'agit de permettre à la population, partout sur le territoire français, l'accès aux pastilles d'iodure de potassium.

À distribuer rapidement

L'efficacité des comprimés d'iode est maximale s'ils sont ingérés une heure avant le rejet d'iode radioactif et au plus tard vingt-quatre heures après l'exposition. Compte tenu de ces paramètres, les conditions - rapides - de distribution des cachets sont capitales.

Il appartient aux préfectures d'anticiper tout risque d'accident : elles s'appuieraient sur les mairies approvisionnées à partir d'un ou plusieurs centres de stockage départementaux. Ces derniers disposeraient de douze heures maximum pour acheminer les pastilles.

Rester à l'abri

Néanmoins, en cas d'accident nucléaire, les pastilles d'iode ne sont pas la panacée. Outre qu'elles ne protègent pas l'organisme contre tous les éléments radioactifs, elles ne dispensent pas de prendre d'autres précautions, en particulier la non-ingestion d'aliments locaux (légumes, lait…) susceptibles d'être contaminés et la nécessité de se calfeutrer chez soi.

Sortir pour se procurer des pastilles ou rester chez soi, faudra-t-il choisir ?

« La distribution des comprimés d'iode fait partie des mesures possibles de protection des populations en cas d'accident nucléaire, au même titre que la mise à l'abri », justifie la Direction générale de la santé.

« Les mesures seront décidées au cas par cas en fonction de l'évaluation de la situation menée par les autorités. »

(1) Dont 300 000 pour la Charente, 600 000 pour la Charente-Maritime, 400 000 pour la Dordogne, 200 000 pour le Gers, 1,4 million pour la Gironde, 400 000 pour les Landes, 300 000 pour le Lot-et-Garonne et 600 000 pour les Pyrénées-Atlantiques. (2) L'Eprus dépend du ministère de la Santé.

Source : journal Sud-Ouest

 

-  La prise de conscience à travers le monde : 

 

CENTRALES NUCLEAIRES EN FRANCE-MONDE

Allemagne : Après une remise en question du nucléaire au sein du pays, le gouvernement Allemand a finalement décidé lundi 30 mai 2011 de renoncer totalement à l’énergie nucléaire malgré ses 17 centrales nucléaires.

En Europe, l'Espagne, la Belgique et la Suède prévoient de sortir du Nucléaire.

Grande Bretagne : le programme est gelé et le gouvernement refuse toutes subventions aux investisseurs privés.

Ailleurs en Europe : Finlande, Pays-bas, Hongrie, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Bulgarie sont autant de pays qui ne remettent pas en cause l'énergie nucléaire. Par ailleurs dans plusieurs de ces pays les associations et la population demande qu'un Audit soit effectué sur cette énergie, à l'exemple de celui de la Cour des Comptes en France, la Finlande et les Pays-bas auraient donné leur accord.

Nucléaire Image 3-11533

Japon : Après Fukushima ENFANTS FUKUSHIMA et malgré la fermeture de 51 réacteurs nucléaires (état du parc nippon mi-février 2012), le Japon n’est pas plongé dans le noir : la mise en œuvre de mesures simples a permis de réduire le pic de consommation d’électricité de 18 % !

 

 

-  Alors, le nucléaire une énergie comme les autres ? 

 

Les risques liés aux irradiations restent mal connus,

en 1997 le journal l'Express publiait un article qui, le moins que l'on puisse dire, n'a guère retenu l'attention de nos pouvoirs publiques

 NUCLEAIRE-5Nucléaire : le cancer à petites doses Par Casteret Anne-Marie, publié le 17/04/1997

  50 ans après Hiroshima, on vient de découvrir que même de faibles doses de radiations représentent un risque accru de cancer

 

  Pour la première fois, une étude épidémiologique publiée par la revue Santé et travail prouve l'effet cancérogène des rayons ioniques, même à faible dose.
50 millisieverts, c'est la dose annuelle maximale admise pour les personnes directement exposées au risque nucléaire. C'est aussi la dose reçue, il y a cinquante ans, par quelques milliers d'habitants de Hiroshima et de Nagasaki. Or, longtemps considérée comme insignifiante, car faible, cette irradiation se révèle cancérogène à long terme.


Lire l'article complet f rond dro


 

 -  Ils l'ont dit , ces petites phrases qui tuent...le nucléaire

 

c612241f629f9c1b7530388fb2843978.jpg Mikhaïl Gorbatchev : "La véritable ampleur de Tchernobyl demeure au-delà de notre compréhension"
  Cette phrase a été prononcée par Mikhaïl Gorbatchev le 1er mars 2011, dix jours avant Fukushima et un peu plus d’un mois avant la 25e commémoration de Tchernobyl.

 Hubert Reeves (astrophysicien), Stéphane Hessel, Bernard Lietaer (économiste), Tony Benn (ancien ministre travailliste Britannique), tous à la suite de leurs expériences et de leurs réflexions ont pris la parole pour parler de l'énergie Nucléaire, lisez ici ce qu'ils en disent :f rond dro

 

 

 

 

NUCLEAIRE-3  Lire sur le même sujet : 

La Tragédie Japonaise et le nucléaire (12.03.11)
 Résumé, un mois après au Japon  

Dans la presse : Prévention contre les radiations à Fukushima

Fukushima, 1 an après : la journée d'actions mondiales

5 mai 2012 Au Japon le dernier réacteur nucléaire est stoppé

Greenpeace : Non, Le nucléaire sûr n'existe pas

L'énergie nucléaire en France : 

Dossier : " Le nucléaire en France..."

Maladies dégénératives, leucémies et nucléaire : trop de cas

Quand la Centrale de Fessenheim fait peur

Fukushima jugé aussi grave que Tchernobyle et après, Fessenheim ?  
Démantèlement  La centrale nucléaire de Brennilis en Bretagne  
Dans la Presse : La centrale de Brennilis et le Gaz de Schiste en France

En Corse les cancers de la Thyroïde sont bien liés à Tchernobyl

Tchernobyl et la France : une justice sans nuage...pour les responsables

Dans la presse : Energie Nucléaire en France et en Allemagne

 

Le saviez-vous ? 

L'accord passé entre l'OMS et Agence du Nucléaire

OMS et Industrie Nucléaire d'étranges liens

Les pétitions : 

Pétition pour l'indépendance de l'OMS face au Nucléaire
CRIIRAD, Communiqué sur la radioactivité en France (23.03.11)
Pétitions CRIIRAD :
" Appel aux pouvoirs publics pour la transparence des analyses de l'air " (26.03.11)  
" Non à la radioactivité dans nos objets du quotidien "  (17.03.11)

 

 

Sites, sources et références consultés :


Industries Nucléaires et énergie électro-nucléaire

AREVA f rond dro Leader mondial de l'énergie nucléaire

CEA f rond dro Commissariat à l'Energie Atomique 

EDF f rond dro  Premier électricien nucléaire mondial " en direct de nos centrales "

IEA f rond dro International Energy Agency

 

Recherches Nucléaires Indépendantes

CRIIRAD f rond dro Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité

 

Associations-Collectifs

GREENPEACE   f rond dro Association Environnementale nucléaire Information 

S-EAU-S f rond dro Association de protection de l'environnement, de consommateurs et " d'écologie politique " 

SORTIR DU NUCLEAIRE f rond dro Collectif anti-nucléaire

WWF f rond dro Association Environnementale nucléaire Information  

 

Recherches Annexes

Annuaires des Mairies de France f rond dro

bureau central de sismologie français f rond dro

Cour des Comptes f rond dro Les coûts de la fillière électro nucléaire 

Météo France f rond dro

Office de Tourisme des Monts d'Arrée f rond dro Communauté de Communes du Yeun Elez

OMS f rond dro Organisation Mondiale de la Santé

 Vidéo Films Documentaires Production vivement lundi ! f rond dro


Agences de Presse

AFP f rond dro

AGENCE PRESSE BRETAGNE f rond dro 

L'EXPRESS f rond dro

Le MONDE f rond dro

Le PARISIEN  f rond dro

Le TELEGRAMME f rond dro

NICE MATIN f rond dro

OUEST FRANCE f rond dro

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