Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Home Naturo-Naturopathe à Domicile
  • : PRENEZ VOTRE SANTE EN MAINS, NATURELLEMENT.Des conseils pour vous garder en bonne santé par la Naturopathie, la Géobiologie et la Bioénergie. Home Naturo, votre Naturopathe à Domicile.
  • Contact

Profil

  • Michel-HomeNaturopathe
  • Découvrez mes conseils de Naturopathe diplômé de l'École de Robert Masson et restez en bonne santé grâce aux techniques naturelles de santé comme l'aromathérapie parce que votre santé vous appartient. Consultations à domicile.
  • Découvrez mes conseils de Naturopathe diplômé de l'École de Robert Masson et restez en bonne santé grâce aux techniques naturelles de santé comme l'aromathérapie parce que votre santé vous appartient. Consultations à domicile.

A propos de la pub !

Mille excuses pour celles et ceux qui visitent mon blog, il y a des pub qui apparaissent....Je ne suis pas responsable de ces publications et ça me met même dans des situations désagréables quand je vois, par exemple, des annonces pour la calendrier vaccinal, des boissons énergisantes... !!!  Je vais essayer de remédier à ça pour que ces pubs n'apparaissent plus !!! Bonnes visites - tout de même - !  Prenez soin de vous. Michel.

Recherche

HomeNaturo, Votre Naturopathe

A.HomeNaturo OverblogNaturopathe diplomé du CENA. 

Consulations à votre domicile en Région Parisienne : Hauts de Seine, Val de Marne, Val d'Oise, Yvelines, Sarthe et Orne.

Réglage et plan alimentaire personnalisé - Gestion du Stress - Accompagnement des sportifs -

Accompagnement dans les magasins bio -

Ateliers & Conférences -

 

 

Archives

8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 11:50

presse homenaturo overblog 

ARCTIQUE 

Le trou de la couche d'ozone

a atteint des records


Le trou de la couche d'ozone a atteint des records ce printemps au-dessus de l'Arctique en raison notamment de la persistance dans l'atmosphère de substances nocives, a indiqué mardi l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

" Les observations effectuées à partir du sol et par ballon-sonde au-dessus de l'Arctique ainsi que par satellite révèlent que la colonne d'ozone a accusé une déperdition d'environ 40% dans cette région entre le début de l'hiver et la fin du mois de mars ", a expliqué l'OMM dans un communiqué.

" Le précédent record en matière de destruction d'ozone était une perte d'environ 30% sur tout un hiver ", a précisé l'organisation dont le siège est à Genève. La couche d'ozone protège la terre contre les rayons ultra-violets nocifs pour la santé du
soleil.

  Midi Libre   Ce 5 avril 2011

A.HomeNaturo OverblogAllez, l'été arrive on pourra toujours en profiter pour bronzer !

 

Lire le PdF du communiqué de Presse de l'Organisation Météorologique Mondiale du 5 avril b ok mod ident

 

Comme toujours si vous souhaitez réagir, rendez-vous à la page prévue ici b ok mod ident

 

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

homenaturo

Partager cet article
Repost0
26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 14:48

PETITION de la CRIIRAD en date du 26 mars 2011

 

pour une transparence totale

 

sur la radioactivité de l’air

 

que nous respirons

 

Plus de 60 laboratoires d’analyse équipés de détecteurs de très haute précision sont répartis sur l’ensemble de notre planète et contrôlent quotidiennement la radioactivité de l’air.

 

Leur mission : rechercher les très faibles quantités de produits radioactifs qui pourraient indiquer qu’un essai nucléaire a été effectué en violation du Traité d’Interdiction Complète des Essais Nucléaires (TICEN).

Les résultats de ces analyses permettraient de suivre, jour après jour, et depuis le 12 mars 2011, l’avancée des masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHII.

 

C’est impossible car les données sont confisquées par les Etats.

Les résultats sont transmis à des organismes officiels qu’ils sélectionnent et qui sont tenus de ne rien divulguer.

 

Le réseau international de mesure est financé par de l’argent public. Les populations ont droit à cette information.

Tous les chiffres doivent être publiés et non pas quelques chiffres soigneusement choisis par les autorités.


J’exige que les résultats d’analyse de la radioactivité de l’air du réseau TICEN, soient rendus publics, INTEGRALEMENT ET SANS DELAI.

Payés par les citoyens de l’ensemble des pays, ils doivent leur être accessibles et servir à leur protection.


 

Pétition lancée par la CRIIRAD - Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la Radioactivité

Les pétitions serviront aux actions en direction des autorités nationales de chaque pays, de l’ONU,

de l’AIEA et de l’organisation du TICEN -

Date de lancement : 26 mars 2011 – Durée de validité : jusqu’à l’obtention de la levée du secret   

- Merci de faire circuler cette pétition ! -

A renvoyer à la CRIIRAD : 471 avenue Victor Hugo, 26000 Valence, FRANCE

ou par télécopie au 04 75 81 26 48

Il est également possible d’envoyer une version scannée à la CRIIRAD


Imprimer et signer la pétition picto petition  

Vous pouvez aussi m'en faire la demande et je vous adresserai la pétition en PdF b ok mod ident

Résultats de la mobilisation & Infos sur le site de la CRIIRAD b ok mod ident 

 

Sur le même sujet, 

lire aussi :

 

 

 

 Comme toujours si vous souhaitez réagir, vous êtes les bienvenus ici

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

homenaturo

Partager cet article
Repost0
25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 12:14

CAKLQV6DEarth Hour,
éteignez vos lumières, allumez vos consciences !

 



Le 26 mars 2011, on éteint la lumière
Une initiative du WWF

Depuis 4 ans, Earth Hour est un événement mondial dont l'ampleur démontre l'importance de la mobilisation citoyenne pour la lutte contre le dérèglement climatique. Initié par le WWF, Earth Hour invite tout le monde, particuliers, entreprises, villes et collectivités, à éteindre la lumière durant une heure. Cette année, Earth Hour a lieu le samedi 26 mars, de 20h30 à 21h30. Soyez nombreux à participer afin de faire entendre l’appel du WWF et accentuer ainsi la pression de l’opinion publique sur les décideurs !

Une minute de silence pour le Japon

L’édition 2011 d’Earth Hour débutera par une minute de silence à la mémoire des victimes de la tragédie humanitaire et environnementale que doit affronter actuellement le Japon.

Earth Hour à travers le monde

Des centaines de millions de participants dans 125 pays et 4000 villes vont faire de cette action symbolique un moment fort, de conviction et de partage. Imaginez l'extinction de plus de 1200 monuments à travers le monde, comme la Cité interdite de Beijing, L’Empire State Building à New York, le Christ Rédempteur à Rio de Janeiro, Big Ben à Londres, la Tour Eiffel de Paris… Imaginez des millions de foyers éteignant à l'unisson leurs lumières, pour se joindre à ce mouvement. Rien qu'en France, plus de 250 collectivités et 11 millions de Français se sont engagés à participer à Earth Hour.
De nombreuses personnalités participent au mouvement et s'en font les ambassadeurs : Gisele Bundchen, Tom Jones, Ban Ki-Moon, Numa Gomes…

Participez, à votre façon !

En fonction de votre lieu de résidence et de vos envies, vous pouvez choisir de participer à Earth Hour en assistant dans un lieu public à l'extinction des lumières d'un monument, d'une place de votre quartier, ou en éteignant les lumières à votre domicile. Il est possible dans ce cas de re-découvrir le charme d'un dîner aux chandelles... Pourquoi ne pas en profiter également pour éteindre télévision, ordinateur et téléphone ?

Une action symbolique, et après ?

Si Earth Hour est une action à la portée symbolique très forte, son intérêt est également de nous inviter à la réflexion sur nos pratiques en matière de consommation d'énergie. Une fois l'évènement terminé, la lutte ne s'arrête pas là. Limiter la consommation électrique et réaliser des économies d’énergies reste l'affaire de tous, collectivités et citoyens.

Pour en savoir plus sur Earth Hour, consultez le site officiel earthhour.fr.

 

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

homenaturo

Partager cet article
Repost0
23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 21:08

 

A.HomeNaturo OverblogUn Naturopathe n'a pas compétence pour évaluer une situation aussi complexe que les possibles risques de retombées radioactives pour la France ; le 12 mars, au lendemain des catastrophes naturelles qui ont déferlé sur le Japon, je postais sur ce blog un article dans lequel je redoutais une éventuelle catastrophe nucléaire, depuis, je n'ai plus communiqué sur cette tragédie : il faut parfois une réelle légitimité pour se permettre de prendre la parole...

 

Cependant, j'ai reçu de nombreux mails me demandant mon avis...de Naturopathe (!), c'est pourquoi j'ajoute aujourd'hui cet article, pourtant, je ne vais pas ici répondre, une fois encore je n'ai aucune légitimité en la matière, mais laisser la parole aux chercheurs de la CRIIRAD -seul organisme indépendant de recherche sur la radioactivité-

Vous trouverez en bas de page le lien que vous pourrez suivre pour accéder directement au site de la CRIIRAD et rester ainsi informé.

 

 

PANACHES RADIOACTIFS :
 

 

Quels sont les risques attendus sur la France ?

 

Extrait du communiqué de la CRIIRAD Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité

 " Au vu du nombre impressionnant de demandes qu’elle a reçues, et plus encore de l’inquiétude exprimée par la plupart des messages, la CRIIRAD a décidé de rédiger un texte d’information destiné à rassurer, autant qu’il est possible, les personnes qui l’ont interpellée sans pour autant aller au-delà de ce que permettent les données disponibles. C’est difficile car les données utilisables sont encore très rares. C’est d’autant plus choquant que des résultats d’analyse existent mais qu’ils ne sont pas publiés. Nous reviendrons dans un prochain communiqué sur les nombreux dysfonctionnements qui provoquent depuis 10 jours notre indignation et notre colère. "

 

Télécharger la suite du communiqué du 22 mars 2011 b ok mod ident

 

 

 

Panaches radioactifs en provenance du Japon : 

 

Quels sont les risques attendus sur la France ?

 

(information du 22/03 à 11h30)

 

Les panaches radioactifs en provenance de la centrale nucléaire de Fukushima 1 au Japon devraient atteindre le territoire français à partir du 23 ou du 24 mars. A partir des données disponibles, la CRIIRAD a effectué une évaluation prévisionnelle des niveaux de contamination et des doses induites. Cette analyse est globalement rassurante. Les concentrations en éléments radioactifs dans l'air devraient être certes mesurables (en particulier en analysant les filtres et cartouches à travers le réseau de balises que gère la CRIIRAD). Cependant les doses induites devraient être faibles et ne justifier aucune mesure de protection spécifique. 

En revanche, la CRIIRAD va suivre de près les retombées au sol en particulier dans les zones qui seraient affectées par la pluie lors du passage des masses d'air contaminées.

La CRIIRAD va réaliser des prélèvements quotidiens de filtres et cartouches afin d'adapter les consignes au cas où la réalité serait différente des prévisions.  

 

Pour rester informé, retrouvez le site de la CRIIRADb ok mod ident

 

Pour signer la pétition mise en ligne par la CRIIRAD

et téléchargeable sur HomeNaturo c'est ici b ok mod ident

 

Sur le même sujet,

lire aussi :

 

Les Documents format PdF au sujet du Nucléaire

 Energie Nucléaire les documents Pdf

 

 

Comme toujours si vous souhaitez réagir, vous êtes les bienvenus ici

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

homenaturo

Partager cet article
Repost0
18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 18:33

 

 

 

A.carre sante blog HomeNaturoLa tragédie nucléaire Japonaise, a éveillé bien des craintes.

Depuis le début de cette catastrophe vous avez été nombreux à solliciter mon avis de Naturopathe.

Deux grands thèmes sont ressortis de vos questions,

Le premier concerne l’Energie nucléaire et ses risques :

Dans l’article intitulé : « La tragédie Japonaise » (lire l’article ici) vous trouverez un lien vers la CRIIRAD, Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité, Association créée au lendemain de la catastrophe de Tchernobyl ayant pour but d’informer, de manière indépendante, la population des risques liés à la radioactivité. Les dossiers mis en ligne sur leur site sont pertinents, ettayés et argumentés par de vrais professionnels indépendants qui font aujourd’hui références, je ne peux que vous inviter à les lire.

Le second thème est : les incidences sur la santé de la médecine nucléaire et des techniques d’imagerie à rayonnement (scintigraphies…), en tant que praticien de santé je peux ici vous exposer mon point de vue. 


L’avis du Naturopathe face à la Médecine nucléaire et aux

techniques d’imagerie à rayonnements ionisants :


Le bon sens doit primer ! Tout acte médical ou à visé diagnostique induisant un risque ionisant doit absolument être justifié.

Autrement dit, il faut d’abord mettre en pratique le principe de précaution avant d’utiliser les techniques d’imagerie à rayonnement, telles que : la scintigraphie qui est une méthode d'imagerie médicale qui procède par l'administration, dans l'organisme, d'isotopes radioactifs afin de produire une image ou encore par exemple le scanner qui lui est un appareil d'imagerie à rayons X qui permet l'étude de structures anatomiques à visée médicale.

Les techniques d’explorations médicales sont des outils de diagnotiques absolument necessaires qui serait absurde de négliger, en revanche, ces techniques de pointe et pour lesquelles nous avons encore peu de recul quant à leur impact à long terme sur la santé, doivent être utilisées avec précaution. 

Et plus encore en ce qui concerne les enfants, comme le souligne le Dr Brisse, radiopédiatre, qui indique que les études menées en 2009 sur 30 000 enfants de moins de 5 ans sont essentielles pour la compréhension de l'irradiation médicale « Mais, les résultats ne seront pas disponibles avant plusieurs années ! ».

 Il est donc indispensable que le patient s’informe avant d’accepter toute exploration ionisante, le diagnostique doit nécessairement précéder l’exploration par imagerie qui, elle, ne doit intervenir qu’en cas de nécessité absolue.

Aujourd’hui, il est cependant admis que le « principe de précaution a imposé de privilégier l’hypothèse la plus péjorative en fixant une relation linéaire sans seuil entre la dose reçue et le risque de complication. » Or, selon le document DGS/GTNDO la seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 par an, dont une partie (évidemment) évitable ». voir l’article sur la iatrogénèse en France, « Les Français malades de leurs médicaments » ici 

 

Pour une meilleure compréhension de ce domaine si complexe plusieurs documents sont à votre disposition en format PdF ici b ok mod ident

Guide du bon usage des examens d'imagerie médicale
Introduction du Rapport de l’Institut de Veille Sanitaire

Bien que certaines techniques d'imagerie recourent à des rayonnements ionisants, le bénéfice qu'elles apportent aux malades est sans commune mesure avec les risques potentiellement induits. La réduction de ces risques à leur minimum (radio protection des patients) est depuis de nombreuses années une préoccupation des radiologistes et des médecins nucléaires. La directive 97/43 a fait de cette règle éthique une obligation légale. 

 

La radioprotection des patients : une obligation légale

La radioprotection des patients fait partie des obligations légales depuis l'ordonnance 2001-270 du 28 mars 2001 qui a transposé en droit français la directive 97/43 Euratom. Le décret d'application 2003-270 du 24 mars 2003 a modifié le Code de la Santé Publique (CSP) en introduisant au livre 1er, titre 1er, chapitre V-I, une section 6 relative à la protection des personnes exposées à des rayonnements ionisants à des fins médicales ou médico-légales. Ce texte rend désormais obligatoire pour les médecins demandant ou réalisant des examens d'imagerie utilisant les rayonnements ionisants l'application des principes fondamentaux de justification et d'optimisation.

- La justification des actes est le premier principe de la radioprotection : c'est l'opération établissant le bénéfice net d'un examen par rapport au préjudice potentiel lié à l'exposition aux rayonnements ionisants.

- L'optimisation des pratiques est le deuxième principe de la radioprotection. Lorsqu'un examen utilisant les rayonnements ionisants est nécessaire (justifié), il doit être optimisé : c'est l'opération permettant d'obtenir l'information diagnostique recherchée au moyen de la dose d'exposition la plus faible possible.

 

Communiqué de presse Institut de Veille Sanitaire

22 mars 2010

L’exposition de la population aux rayonnements ionisants liée au diagnostic médical augmente en France.

 

Les patients Français sont de plus en plus exposés


L’Institut de veille sanitaire (InVS) et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) publient leur rapport relatif à l’exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical réalisés en 2007.

Ce rapport actualise et complète l’édition précédente qui concernait les données recueillies en 2002. Il analyse l’exposition médicale par modalités d’imagerie (radiologie conventionnelle, examens scanner et médecine nucléaire), par régions anatomiques explorées, par âge et selon le sexe du patient.

Les principales conclusions

74,6 millions d’actes de diagnostic utilisant les rayonnements ionisants ont été réalisés en France en 2007.

La radiologie conventionnelle représente 63 % des actes, la radiologie dentaire 24,7 %, les examens scanner 10,1 % et la médecine nucléaire 1,6 %.

Les actes de diagnostic médical en France conduisent à une dose efficace1 égale à 1,3 millisievert (mSv) en moyenne par an et par individu.

Cette valeur, très inférieure à celle des Etats-Unis (3 mSv), se situe dans la fourchette des valeurs moyennes européennes (0,4 mSv au Royaume-Uni - 2 mSv en Belgique).

 

A.HomeNaturo OverblogL’Avis du Naturopathe : 

Ouvrons une parenthèse, il est dit : 74,6 millions d’actes de diagnostic utilisant les rayonnements ionisants ont été réalisés en France en 2007 et plus loin : Les actes de diagnostic médical en France conduisent à une dose efficace1 égale à 1,3 millisievert (mSv) en moyenne par an et par individu.

Voyons à quelles sont les doses reçues lors d’examens médicaux relativement « courants »

Doses reçues

Doses reçues lors d'un examen radiologique  

Irradiations moyennes pour les examens ci-dessous :

  • Angioscanner thoracique est de 12 mSv ( milliSievert)
  • Scanner abdominal : 10 mSv.
  • Coronarographie : 5 mSv.
  • Scintigraphie au technétium : 11 mSv.
  • Scintigraphie au thallium : 22 mSv.
  • TEP scan : 10 mSv

Il semblerait donc que cette dose de 1,3 millisievert par an et par habitant, soit une base de calcul à caution ou en tout cas il serait interressant de savoir quelles ont été les méthodes de calcul, puisque la France compte près de 65 millions d’habitants et que tous n’ont, fort heureusement, pas passé des examens médicaux ionisants, alors que des patients font l'objet d'explorations médicales à répétition engendrant des taux irradiations de ce fait démultipliés.

Avec l'essor du scanner 64 barrettes, l'angiographie coronaire non invasive ou angioscanner coronaire est un des examens proposés pour dépister les lésions coronaires de manière non invasive. Cependant, cet examen est associé à une irradiation liée à l'utilisation des rayons X.

« Avec l'essor de cette technique, il ne faut pas oublier que le scanner engendre une irradiation pour le patient, dont la répétition peut avoir des conséquences désastreuses » explique le Dr Olivier Bar.

Fermons la parenthèse.

 

Les examens scanner sont les actes délivrant les doses les plus élevées et représentent 58 % de la dose efficace moyenne.

La part de la radiologie conventionnelle (hors radiologie dentaire) est de 26 % et celle de la médecine nucléaire est de 10 %.

La dose efficace en 2007 est en nette augmentation, de 57 % par rapport à la dose estimée en 2002 (0,83 mSv) .

Les données de 2007, plus nombreuses, plus précises et mieux représentatives des pratiques médicales françaises qu’en 2002, ont permis une analyse plus fine de l’exposition liée au diagnostic médical. Ont été ainsi mises en évidence :

  • une augmentation significative du nombre des examens scanner et de médecine nucléaire, respectivement +26 % et +38 % entre 2002 et 2007 ;
  • une plus grande part des examens scanner exposant le thorax, l’abdomen et le pelvis, c’est-à-dire des organes radiosensibles qui contribuent fortement à la dose efficace ;
  • une augmentation du nombre d’examens associant la tomographie par émission de positons à un examen scanner (TEP SCAN).

Ces observations expliquent la nette augmentation de la dose efficace moyenne observée entre 2002 et 2007.


Dans le cadre de leurs missions de service public, l’InVS et l’IRSN coordonnent leurs efforts depuis 2003 pour la mise en place d’un Observatoire des expositions médicales de la population française.

1La dose efficace est un indicateur de radioprotection qui prend en compte les doses délivrées à chacun des organes du corps humain exposés à des rayonnements ionisants et leur sensibilité à ces rayonnements. Elle s’exprime en millisievert (mSv).

 

De L’ INSTITUT DE RADIOPROTECTION & DE SURETE NUCLEAIRE (INRSN) sur l’exposition aux doses de radioactivité

 

Lorsque les doses de rayonnements sont inférieures à 100 millisieverts, on parle de faibles doses.

Mise au point sur le sujet.

Quand est-on exposé à de faibles doses de radioactivité ?

Il existe de nombreuses sources d’exposition à la radioactivité. Naturelle, provenant par exemple du granite qui contient d’infimes traces d’uranium, lequel, en se désintégrant, produit du radon, un gaz radioactif qui émane de la roche et se retrouve naturellement présent dans notre atmosphère. D’autres sources sont artificielles. Ainsi des travailleurs du nucléaire ou encore des professionnels de santé sont-ils exposés. Tout comme une personne se prêtant à des examens d’imagerie médicale, comme une radiographie ou un scanner.

  On distingue divers modes d’exposition à des faibles doses de radioactivité :

  • irradiation externe chronique. Par exemple : les rayons cosmiques frappant la Terre
  • irradiation externe ponctuelle. Par exemple : un examen radiologique
  • contamination interne chronique. Par exemple : l’inhalation de radon contenu dans l’air

contamination interne ponctuelle. Par exemple : l’ingestion d’eau contaminée.

D’où vient ce chiffre de 100 mSv (millisieverts) ?


Les études épidémiologiques menées pendant plus de soixante ans sur près de 90 000 survivants des bombardements d’Hiroshima et Nagasaki ont montré avec certitude que le risque de cancers augmente chez les personnes ayant reçu une dose de rayonnements ionisants supérieure à 100 mSv de manière significative. On a aussi évalué l’effet déterministe (brûlures…) qui s’observe lors d’une irradiation massive et de courte durée.

En revanche, en deçà de 100 mSv, les études n’ont pas établi de façon indiscutable l’existence d’une relation entre dose de rayonnements et risque de cancers ou maladies non cancéreuses notamment en raison des incertitudes qu’accompagnent ce type d’étude. C’est pourquoi cette valeur de 100 mSv a été choisi pour définir schématiquement le domaine des « faibles doses ».

  

Les faibles doses présentent-elles des risques ?


L’absence d’effets décelables lors d’études épidémiologiques menées jusqu’à présent ne permet pas d’exclure l’existence de risques pour les êtres vivants. De plus amples recherches sont indispensables. Pour identifier ces risques biologiques et/ou pathologiques [1], il faut mener des recherches complexes et nécessairement longues associant travaux épidémiologiques, cliniques et expérimentaux. Seules la diversité et la complémentarité des approches permettront d’en savoir plus.

  

À quelles difficultés sont confrontés les chercheurs qui travaillent sur les faibles doses ?


L’exposition à la radioactivité naturelle vient s’ajouter aux éventuelles expositions professionnelles, médicales ou accidentelles. Il est donc difficile d’identifier l’impact respectif des unes et des autres.

 

Par ailleurs, de nombreuses pathologies, et notamment des cancers, surviennent tout au long de la vie pour des raisons génétiques ou environnementales sans rapport avec une irradiation.

  

Pour clore cet article d’information voici ce qui est dit concernant les Irradiations et expositions à faibles doses in et hors domaine médical.


Source : IRSN Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire 


Pourquoi y a-t-il de plus en plus de recherches dans ce domaine ?

L’extrapolation des effets des fortes doses à ceux des faibles doses ne reflète absolument pas la réalité. Étudier les effets liés à de faibles expositions chroniques est donc primordial. C’est pourquoi la Commission européenne finance désormais ces recherches et de plus en plus d’équipes lancent d es programmes.

Quelles vont être les conséquences d’une meilleure connaissance des effets de ces faibles doses ?

Actuellement, la Commission internationale de protection radiologique (CIPR) recommande que la population générale ne soit pas exposée à plus de 1 mSv par an ajouté à l’exposition naturelle. Pour les travailleurs, le seuil maximal recommandé est de 20 mSv par an.  

Ces seuils ont été fixés pour gérer les risques de manière optimale à un coût acceptable. Tester la pertinence du système de radioprotection actuel par des travaux scientifiques axés sur des résultats constatés permettra de juger du besoin éventuel d’ajuster les normes. Il est en effet essentiel que les mesures de protection reposent avant tout sur des connaissances scientifiques acquises dans le cadre d’études expérimentales, cliniques ou épidémiologiques.

Note :

1- On distingue les effets biologiques, qui sont des modifications passagères ou permanentes du fonctionnement de l’organisme sans que cela soit néfaste pour lui, des effets pathologiques qui peuvent être plus ou moins graves.  

1 sievert = 1 000 millisieverts Le sievert (Sv), en hommage au suédois Rolf Sievert et à ses recherches sur les effets biologiques des radiations, est l’unité qui sert à quantifier le risque lié à une exposition à des rayonnements ionisants.  

Alors que le becquerel (Bq) mesure l’activité de la matière nucléaire et que le gray (Gy) mesure la dose physiquement absorbée par la matière, le sievert permet, quant à lui, d’évaluer l’impact du rayonnement sur la matière vivante. Ainsi peut-on comparer l’effet d’une même dose délivrée par des rayonnements de nature différente à des organismes, des organes ou des tissus qui n’ont pas la même sensibilité aux radiations.   

Pour cerner les effets à long terme des irradiations et des contaminations chroniques à des faibles doses, les experts de l’IRSN investiguent les domaines de l’épidémiologie, mais aussi de la recherche expérimentale et clinique.  

Conduire des travaux scientifiques sur les effets d’une exposition chronique à de faibles doses n’est pas aisé. Les effets sont peu visibles et l’impact sanitaire éventuel ne peut être observé que sur le long terme. Par ailleurs, les études sont lourdes à mettre en place, soit parce qu’elles demandent de suivre de vastes cohortes [1] sur plusieurs dizaines d’années, soit parce que la recherche expérimentale est coûteuse et délicate à réaliser. Pour autant, ces travaux sont indispensables pour connaître et prévenir les risques sur l’homme.

Etudier des populations exposées

Personne n’imagine aujourd’hui se passer de l’imagerie médicale. À chaque radiographie ou scanner, le corps est soumis à un rayonnement ionisant. Cette exposition présente-t-elle un risque ? Pour le savoir, une étude portant sur 30 000 enfants de moins de 5 ans lors de leur premier examen irradiant a été lancée en janvier 2009 en collaboration avec 18 hôpitaux français.     

« En connaissant les examens subis par chaque enfant, on calcule les doses reçues. Puis, avec le registre national des cancers et des leucémies pédiatriques, on pourra identifier les enfants développant des cancers », explique Marie-Odile Bernier, chercheure à l’IRSN, en charge de l’étude. « Il est très important de travailler sur le suivi des enfants exposés car ils sont plus sensibles que les adultes aux rayonnements. Mais, les résultats ne seront pas disponibles avant plusieurs années ! », ajoute le Dr Hervé Brisse, radiopédiatre dans le service de radiodiagnostic de l’Institut Curie à Paris et secrétaire scientifique de la Société d’imagerie pédiatrique et prénatale qui participe à cette étude.  

Les enfants sont aussi l’objet d’une étude sur l’exposition environnementale : « La question des leucémies chez les enfants vivant à proximité des centrales nucléaires remonte aux années 1980 », précise Dominique Laurier, chef du laboratoire d’épidémiologie de l’Institut. En 2008, l’IRSN a analysé près de 200 études scientifiques sur ce sujet. Conclusion : pas d’augmentation du risque de leucémies chez les 0-14 ans vivant à proximité d’une centrale. « Sauf qu’aucune de ces études ne fournit d’information sur les expositions de ces enfants ni sur leur histoire médicale » souligne-t-il.

En collaboration avec l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), l’équipe de Dominique Laurier va s’intéresser à des enfants vivant à proximité de sites nucléaires. « Nous allons évaluer leur exposition à la radioactivité naturelle et croiser cela avec les registres nationaux de leucémies infantiles. » Pour Pierre Barbey, biologiste et membre de l’Association pour le contrôle de la radioactivité de l’Ouest (ACRO), « cette étude permettra d’apporter des réponses mais aussi de montrer qu’il subsiste encore beaucoup d’incertitudes ».

Le lien entre cancer du poumon et radon est très étudié en matière d’exposition environnementale. Ce gaz radioactif naturellement présent dans l’atmosphère peut se trouver en quantité importante dans certaines habitations. Pour quantifier ce risque, l’IRSN a étudié « 600 personnes atteintes de cancer du poumon et 1200 ‘témoins’ (personnes du même âge, non atteintes de cette maladie) qui vivent tous en Bretagne et en région Centre, où l’exposition au radon est plus importante que dans le reste de la France », explique Margot Tirmarche, directrice d’évaluation et d’animation scientifique à l’IRSN et membre de comités scientifiques internationaux tels la Commission internationale de protection radiologique (CIPR).

Conclusion : il existe bien un lien entre le radon dans les maisons et le cancer du poumon. « Désormais, il nous faut convaincre le grand public qu’une bonne ventilation et parfois des interventions de professionnels de l’habitat sont nécessaires », précise-t-elle.

Un laboratoire dédié aux effets sanitaires des expositions faibles aux radiations. 

A l’IRSN, une quinzaine de personnes mènent des études sur les effets sanitaires chez l’homme d’une exposition chronique aux faibles doses. Ils suivent des populations très diverses afin d’étudier tous types d’exposition : environnementale, professionnelle ou médicale.   

Ces spécialistes travaillent au sein du Lepid, le laboratoire d’épidémiologie. Créé au début des années 1990, il est situé à Fontenay-aux-Roses. Actuellement, le Lepid s’intéresse à la relation entre la dose reçue et le risque d’apparition d’effets, à la variation d’un individu à l’autre du risque et aux pathologies non cancéreuses.      

Les travailleurs ne sont pas en reste

« Lors d’opérations de maintenance dans les centrales nucléaires, il peut y avoir exposition à de faibles doses, explique Camille Metz, chercheure sur les effets des irradiations externes à l’Institut. Elle est mesurée grâce au dosimètre individuel porté par les travailleurs. » Les chercheurs disposent des relevés annuels des salariés du CEA depuis 1946, de ceux d’EDF depuis 1961 et ceux d’Areva depuis 1976, soit plus de 70 000 personnes ! Ces données sont croisées avec celles issues des certificats de décès émis en France depuis 1968.

« On constate que la dose moyenne cumulée d’exposition durant toute la carrière professionnelle de ces personnes est de 20 mSv, ce qui est très faible. Au CEA et chez Areva, 50% des travailleurs ont une dose indétectable. Pour déceler les risques liés à des doses aussi faibles, nous devons croiser cela avec d’autres cohortes. Ainsi, sur une quinzaine de pays, soit 400 000 travailleurs, on a pu montrer une association entre exposition professionnelle et risque de décès par cancers. En poursuivant ces études, nous saurons si les recommandations actuelles doivent ou non évoluer », résume Camille Metz. Plus la durée du suivi sera longue et plus les résultats de ces études seront pertinents.

Déterminer les effets sur un organisme vivant

Pour comprendre les mécanismes liés à une contamination chronique, les chercheurs du programme Envirhom étudient notamment des rongeurs, dont l’eau de boisson contient de l’uranium. « Neuf mois de contamination quotidienne chez un rat équivalent à vingt ans chez un homme par rapport à sa durée de vie », précise Isabelle Dublineau, chef du laboratoire de radiotoxicologie expérimentale à l’IRSN.

« Grâce aux études expérimentales, nous maîtrisons tous les paramètres de vie et de contamination de l’animal. Cela nous permet d’être très précis par rapport à la quantité ingérée, et de ne pas interférer avec les effets d’autres polluants. Nous nous intéressons à la localisation de l’uranium dans l’organisme et aux réponses physiologiques. Quelles modifications sont observées, par exemple, au niveau du système cardio-vasculaire, du tube digestif, de l’immunité ou des fonctions du cerveau ?

Comment les effets observés varient en fonction des doses, de la durée d’exposition ou du type d’uranium – appauvri, naturel ou enrichi ? »
    
Alors que l’os et le rein sont les principaux organes cibles lors d’une exposition aiguë, les résultats d’Envirhom ont montré que le système nerveux central, le foie et les organes reproducteurs (femelles) peuvent être également affectés. « Nous constatons une modification des métabolismes majeurs [2], ainsi que des fonctions cognitive (c’est-à-dire le système nerveux central, Ndlr) et reproductives [3] », explique Isabelle Dublineau. « Une contamination chronique à faible niveau par de l’uranium peut donc avoir des effets non cancéreux sur divers organes. Cette contamination, aux quantités ingérées, induit des effets biologiques de type adaptatif [4], qui ne conduisent pas à des pathologies. »

« Pour la première fois, nous avons montré qu’une contamination chronique par de l’uranium enrichi perturbe le cycle veille-sommeil des rats. Elle augmente leur niveau d’anxiété et de troubles de la mémoire. Avec une contamination équivalente par de l’uranium appauvri, l’état général n’est pas altéré », explique Philippe Lestaevel, spécialiste du système nerveux central à l’IRSN. « Nous avons aussi constaté des modifications du système cardiovasculaire lors d’une contamination par le césium 137, mais cela ne signifie pas forcément qu’il y ait pathologie. »

Envirhom, un programme étudie les mécanismes d’action de l’uranium.

Le programme d’études expérimentales Envirhom a été lancé en 2001 par l’IRSN pour permettre une meilleure évaluation des risques liés à l’exposition chronique de radionucléides à la fois sur l’environnement et sur la santé de l’homme. Entre 20 et 25 personnes par an travaillent sur l’axe santé.   

« Il s’agit de mimer, chez des animaux, ce qui peut se passer dans une population soumise à une contamination chronique », explique Isabelle Dublineau, chef du programme Envirhom. « Nous menons des études descriptives afin d’acquérir de nouvelles connaissances et des études plus ciblées sur les mécanismes d’action de l’uranium. »

Suivre les populations des territoires contaminés

L’accident nucléaire de Tchernobyl, survenu le 26 avril 1986, demeure à ce jour la plus grande catastrophe de l’industrie nucléaire civile. L’exposition des populations a eu des conséquences sanitaires comme une augmentation de l’incidence des cancers de la thyroïde chez les enfants âgés de moins de 15 ans au moment de l’accident et vivant sur les territoires contaminés de Russie, Biélorussie et Ukraine. Certaines études menées en Biélorussie suggèrent que les enfants vivant sur les territoires contaminés, et plus particulièrement par du césium 137, présenteraient des pathologies inhabituelles, non cancéreuses telles que cataractes, anémies ou encore troubles du rythme cardiaque.

En avril 2005, l’IRSN a décidé de lancer un programme de recherche appelé  Épice (Évaluation des pathologies induites par une contamination par le césium). Il suit les enfants vivant sur les territoires russes contaminés afin d’évaluer leur contamination par du césium 137. De plus, il est destiné à recenser les pathologies non cancéreuses, en particulier arythmies cardiaques et cataractes. Il sera ainsi possible de confirmer ou infirmer l’existence d’un lien de cause à effet. Plusieurs phases préparatoires ont déjà eu lieu, permettant de valider la faisabilité d’une vaste étude épidémiologique. L’étude portant sur les arythmies cardiaques a été lancée en mai 2009. Elle concerne 18000 enfants, dont la moitié vit sur des terrains non contaminés. Les premiers résultats sont attendus pour 2013.

 

Notes :

[1] - Cohorte : ensemble d’individus suivis chronologiquement, à partir d’un temps initial donné, dans le cadre d’une étude épidémiologique. Une cohorte forme un groupe homogène choisi pour l’étude d’une pathologie. (Larousse médical).

[2] - Les métabolismes du cholestérol, des xénobiotiques (substances étrangères à l’organisme telles que les médicaments), des hormones stéroïdiennes, du fer, de la vitamine D. Par exemple, l’uranium perturbe le métabolisme de la vitamine D ce qui peut conduire à un risque d’augmentation de la fragilité osseuse.
[3] - Des études ont observé une baisse de qualité des cellules reproductrices femelles (ovocytes) sans modification de l’intensité de l’ovulation.
[4] - Le terme d’effets biologiques de type adaptatif est utilisé lorsque des perturbations sont constatées sans entraîner de pathologie ou de menace pour la santé ; l’organisme s’adapte à l’entrée de ce radionucléide.

Pour atteindre une efficacité suffisante, et pour pérenniser les programmes de recherche et leur financement, les scientifiques de l’Union européenne travaillent désormais en réseau.  

 

Trois questions à Jean-René Jourdain Pharmacien radiobiologiste, délégué aux partenariats internationaux et aux activités transverses à la direction de la radioprotection de l’homme de l’IRSN.  

Pourquoi l’IRSN travaille-il sur les faibles doses ?

La réflexion a été lancée en 2000 à la suite des interrogations croissantes de la population. Nous sommes très attentifs aux questions posées par la société, or nous ne disposions alors pas de résultats expérimentaux nous permettant d’argumenter nos réponses. D’où le lancement du programme Envirhom en 2001.

 Ces recherches vont-elles permettre de mieux protéger certaines populations à risques comme les travailleurs du nucléaire ?

Dans un premier temps, cela va surtout servir à s’assurer que nous évaluons bien toute la variété de risques, et pas uniquement les cancers comme c’est le cas aujourd’hui. Ensuite cela permettra d’adapter les mesures de surveillance et de dépistage dans les populations à risque.

Parviendra-t-on à définir un seuil en deçà duquel il n’y aurait aucun effet ?

C’est tout l’enjeu de ces études, mais je doute que l’on y parvienne de façon globale. Aujourd’hui le postulat est de dire que dès qu’on dépasse zéro, il y a un risque, c’est la loi du linéaire sans seuil. L’objectif de ces études est de revisiter cette doctrine et, peut-être, à terme, de définir des seuils de risques, qui pourraient très certainement varier selon les pathologies et les populations.

 


  

Pour retrouver les documents sous format PdF en rapport avec cet article cliquez sur le picto b ok mod ident

 

Si vous souhaitez réagir à cet article l'espace d'expression est ici

 

Au sujet de la santé lire aussi 

Médicaments et effets secondaires l'avis du Naturopathe

Effets secondaires des médicaments : témoignages

Conférence Nationale de la Santé, Bernard Kouchner 

Les maladies dégénératives en augmentation  

Malade ? Et si c'était le médicament ?

Le Dr Alain Braillon, le médecin qui dérange...

Le club des parlementaires au service de la santé...

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Vers des expérimentations médicales humaines sans consentement !

En Inde, des tests médicaux sont pratiqués en secret...

Le médicament, les laboratoires pharmaceutiques et nous...

De la bonne santé des laboratoires pharmaceutiques

Les parabènes interdits et les médicaments

Grippe A/H1N1, les Naturopathes avaient raison !

La fièvre ou l'hyperthermie en Naturopathie


Diagnostiques et médecine nucléaire

médecine nucléaire et irradiations médicales l'avis du Naturopathie

Cancer du sein les risques du surdiagnostic

Les dangers de l'imagerie médicale

Le soleil et la vitamine D


Revue de Presse

Dans la presse : Les Français et les médicaments

Dans la presse : on parle encore du médiator

Ce cher...Médiator : une petite boîte d'un coût exhorbitant !

Dans la presse : Distilbène, Requip : effets secondaires

Dans la presse : témoignage d'une malade du médiator

La ronde des médicaments...

 

et d'autres....

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

34x34-facebook----

 

homenaturo

Partager cet article
Repost0
17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 14:49

 

La CRIIRAD


Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la  

Radioactivité

 

Publie cette pétition, HomeNaturo vous la transmet et si c'est de l'opportunisme, n'en déplaise à Mr Allègre, et bien oui soyons opportunistes pour, qu'au moins, la tragédie nucléaire Japonaise serve à quelque chose...


Début de la pétition à lire :

" Je m’oppose aux ajouts de substances radioactives dans les objets et matériaux de mon environnement quotidien.
Ces substances cancérigènes doivent rester dans des sites contrôlés, sans possibilité de dispersion dans le domaine public. "

 Signer la pétition

sur le site de la CRIIRADpicto petition

 

ou adressez-moi un mail via la boite contact de ce blog et je vous enverrai le document format PdF de la CRIIRAD en retour.

 

A ce sujet, voici un article paru dans le journal

ouest-france jeudi 07 janvier 2010
Des déchets radioactifs dans nos objets quotidiens

Un arrêté ministériel autorise, depuis mai, l'utilisation de rebuts faiblement radioactifs dans la fabrication d'objets usuels de grande consommation. Contre l'avis de l'autorité compétente.

« Les métaux, plastiques, gravats... issus du démantèlement d'installations nucléaires pourront servir à la fabrication de ciment ou d'acier. Ces produits contaminés seront utilisés pour la construction de maisons, voitures, bateaux, vélos... » Directrice de la Criirad (association indépendante spécialisée dans le nucléaire), Corinne Castagnier ne fait pas de la science-fiction. Elle commente un récent arrêté ministériel.

Un enjeu énorme pour l'industrie nucléaire

Ce texte, publié au Journal Officiel le 14 mai, constitue une dérogation au Code de santé publique. Il permet de contourner l'interdiction, prise en 2002, d'utiliser des substances radioactives dans les biens de consommation et les produits de construction. L'Autorité de sûreté nucléaire avait pourtant émis un avis défavorable, rappellant « la position constante de la France d'éviter la dilution des déchets, notamment en les ajoutant à des biens de consommations ». Contactée hier, l'ASN maintient sa position. Les quatre ministères : - Santé, Écologie, Logement et Économie - sont passés outre.

L'enjeu pour l'industrie nucléaire est énorme. « Avec la déconstruction d'installations importantes, comme la centrale de Brennilis (Finistère), elle se retrouve devant des montagnes de produits radioactifs dont elle ne sait que faire », indique la Criirad. On parle de millions de tonnes de rebuts à traiter dans les décennies à venir. Trouver des sites où les stocker ne va pas être simple et le coût financier sera élevé.

Pour contrer la décision des ministères, la Criirad a « engagé une requête devant le conseil d'État pour excès de pouvoir. Ce dernier a déjà expédié des mises en demeure aux ministères en question. On attend leurs explications ».

Ce n'est pas la première fois que l'industrie nucléaire tente de se débarrasser de ses déchets peu contaminés. En 2004, le tribunal administratif de Lyon a fait capoter le projet d'une filiale d'Areva. La Socatric prévoyait de recycler ses déchets via la fonderie Feursmetal. « Ils voulaient fabriquer des tracteurs avec 15 % de métal contaminé. »

 

« Ce nouvel arrêté pose des problèmes de santé et d'environnement, s'inquiète la Criirad. On s'apprête à disperser des produits contaminés alors que dans le même temps, l'Andra récupère les objets radioactifs disséminés dans les foyers (montres au radium ou paratonnerres à l'américium). » Il est aussi en contradiction avec la lutte contre la présence de radon, gaz radioactif naturel et nocif, dans les habitations.

Jean-Pierre BUISSON.

 

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

 

La radioactivité dans le domaine de la santé, l'article est icib ok mod ident

 

Comme toujours si vous souhaitez réagir à cet article rendez vous à l'espace d'expression ici

 

homenaturo

 


Partager cet article
Repost0
15 mars 2011 2 15 /03 /mars /2011 12:24

SERONS-NOUS 15 MILLIONS

 

LE 15 MARS

 

A

 

VOIR LE FILM

 

NOTRE POISON QUOTIDIEN ?

SUR ARTE MARDI 15 MARS à 20H 40, CE SOIR ...

 

Comment l'industrie chimique empoisonne nos assiettes. Une enquête
documentaire alarmante et implacable, menée par la réalisatrice du Monde selon Monsanto.

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, cent mille molécules chimiques ont envahi l'environnement, et plus particulièrement l'alimentation. Des résidus de pesticides subsistent sur les fruits et légumes, des additifs alimentaires sont intégrés dans les plats préparés, et les emballages en plastique sont monnaie courante.

Parallèlement, au cours des trente dernières années, les cancers, les maladies neurologiques telles que Parkinson ou Alzheimer, et les troubles de la reproduction ont considérablement augmenté dans les pays développés. Existe-t-il un lien entre cette inquiétante évolution et le déferlement des substances chimiques dans nos assiettes ?

Constat sans appel


Deux ans durant, Marie-Monique Robin - Prix Albert-Londres 1995 - a parcouru l'Amérique du Nord, l'Asie et l'Europe pour percer à jour  les mécanismes d'évaluation, de réglementation et d'homologation des produits chimiques.
Munie d'études épidémiologiques et de témoignages de chercheurs respectés et indépendants, mettant en garde contre la toxicité de certaines substances, la réalisatrice est ainsi allée à la rencontre des représentants des agences de réglementation - notamment la Food and Drug Administration (FDA) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments à Parme (EFSA) - pour tester la fiabilité des garde-fous mis en place à la fin des années 1950.

S'appuyant sur les exemples des pesticides, de l'aspartame et du bisphénol A, elle dresse un constat sans appel sur les dangers de la production alimentaire de masse et dénonce un "système de réglementation arbitraire, approximatif et contrôlé par l'industrie", guidée par la recherche du seul profit.
Au terme de cette démonstration imparable, la réalisatrice explore les pistes actuellement à l'étude pour tenter d'enrayer cette "épidémie" de cancers...

 

HomeNaturo lance un appel ... serein et heureux,
 

 

L'objectif ? Etre 15 millions devant la tv le 15 mars à 20h 40 sur ARTE pour
créer le BUZZ POUR UNE ALIMENTATION 100% SANTE !

Dans une société de l'audimat et du tout argent, 2 choses deviennent très efficaces :

 
 1 . Etre 600 000 personnes ou 15 millions de personnes à regarder un film,
peut faire tout changer , Car l'audimat est un énorme outil de management décisionnel !.. n'avez vous pas envie de permettre à une alimentation vivante et bonne pour votre santé de se développer avec une agriculture qui aime la vie ?  alors regarder c'est voter !


 2. En étant informés, nous pouvons mieux voter avec... notre porte monnaie.

En effet, ce qui peut faire changer complètement la donne , c'est notre comportement de groupe.. C'est en regardant ce que nous avons mis dans notre caddie que nous savons pour quel monde nous votons aujourd'hui. En achetant, nous donnons du pouvoir ! alors pour quel monde votez vous ?

 

Prenez soin de vous !

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

 

homenaturo

Partager cet article
Repost0
14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 18:39

 

 

LE SOMMEIL

Mauvaise alimentation, tabagie, sédentarité, stress, trop longues veilles : l’homme moderne ne sait plus écouter son corps et n’en comprend plus les signaux.

 

Il y a cent ans le sommeil durait en moyenne 9 heures, il n’est, aujourd’hui, que d’une durée de 8 voire 7 heures. Les heures de veilles se sont prolongées pendant que le stress augmente.

 

Trop souvent considéré comme une perte de temps et une marque de fainéantise, notre société, ne donne pas au sommeil la place qu’il mérite.

 

Pourtant, le manque de sommeil ou plus généralement une mauvaise qualité de sommeil peuvent induire à une déficience de notre état de santé générale.

 

On a coutume de compter que le sommeil occupe un tiers de notre vie : à 60 ans nous aurons dormi 20 ans ! Qu’en est-il exactement aujourd’hui ?  Malmené par des emplois du temps surchargés ou décalés, altéré par des drogues qui nuisent à notre santé, perturbé par de multiples sollicitations : un programme tardif à la télévision, un surf sur internet qui n’en finit pas et le sommeil ne peut plus jouer son rôle réparateur.

 

Mieux connaître le sommeil pour bien en profiter

 

Pour parvenir à la quantité et surtout à la qualité de sommeil nécessaire à une bonne qualité de vie, il convient d’essayer de comprendre le sommeil.

 

Chaque personne possède un rythme physiologique qui lui est propre. Il est cependant admis que la durée moyenne d’un sommeil réparateur sera de 8 heures, tout en sachant, qu’il y a de grands et de petits dormeurs qui auront, chacun, des besoins différents et, aujourd’hui, on sait que ces besoins seront fonction de l’hérédité.

Tandis que certains seront du soir, d’autres seront du matin.

A vous de découvrir votre propre rythme. Avec un peu d’attention il est facile à trouver, dès que les paupières se ferment, que les yeux piquent, que les baillements se succèdent : il est temps de se coucher.

 

La Fatigue

 

Arrêtons-nous un instant sur la fatigue. L’un des grands maux de notre société se nomme fatigue. Quelle est-elle exactement ? Pourquoi une telle fatigue ? Par le passé il est admis que le travail était beaucoup plus dur, la vie plus difficile pourtant il n’était pas question de cette immense fatigue qui semble aujourd’hui toucher tous nos contemporains. En fait, et même si le labeur était épuisant, l’activté était principalement physique et la fatigue qui en découlait était une « bonne fatigue » facilement évacuée par une bonne nuit de sommeil. Cette fatigue n’engendrait aucunement le stress, bien au contraire, le travail physique et toutes les activités quotidiennes non mécanisées, permettaient d’évacuer l’adrénaline, cette même adrénaline, nous l’avons vu, que nous ne parvenons plus à évacuer et qui est la première cause génératrice de stress dans notre société (lire l’article sur le stress ici).

Ce dont nous souffrons aujourd’hui est donc principalement une fatigue liée au stress, autrement dit une fatigue nerveuse. Notre société se voue au culte de la performance, de la rapidité, la pression est constante, les informations défaitistes, les transports épuisants, les parents, et les femmes principalement, qui rentrent du travail entament une autre journée de travail. Quoique mécanisée, notre société n’a en rien facilité la vie de ses contemporains et ce sont des hommes et des femmes abrutis de fatigue nerveuse que l’on croise dans les couloirs du métro. Il est donc extrèmement important d’évacuer le stress pour bénéficier d’un sommeil réparateur.

 

 

La périodicite du sommeil 

 

Notre organisme a une tendance naturelle à l’endormissement durant deux périodes majeures de la journée, la période nocturne : de onze heures à sept heures du matin environ et dans le milieu de l’après-midi : entre quatorze et seize heures. Ces deux périodes appellent le sommeil, la première dans la mise en place du sommeil nocturne réparateur profond et la seconde pour une phase de repos rapide régénérateur. La sieste et nous y reviendrons ne devrait pas être négligée comme elle l’est.

Quant à la période de sommeil nocturne celle-ci obéit à des cycles : la phase d’endormissement où le sommeil se fera ressentir : la vigilance et la concentration diminuent puis les signes se font de plus en plus précis : picotements des yeux, baillements, ces signaux émis par l’organisme devront être écoutés le plus rapidement possible, dans le quart d’heure, sinon il faudra attendre 90 minutes avant le retour du prochain cycle.

 

Que se passe-t-il pendant le sommeil ?

 

L’organisme étant au repos, le corps élimine ses toxines par un travail important de ses émonctoires (2 fois plus importants pendant le sommeil qu’à l’état de veille) :

les celulles mortes évacuées, se renouvellent,

les tissus se réparent,

les organes se régénèrent.

Le corps enfin se recharge en énergie.

C’est un véritable nettoyage organique qui se déroule pendant notre sommeil.

 

La dette de sommeil

 

La privation de sommeil, même pendant une seule nuit, entraîne ce que l’on nomme une « dette de sommeil ». Cette dette ira en s’accroissant et seules de bonnes nuits de sommeil pourront amenuiser ses effets néfastes pour notre organisme.

Aucun complément alimentaire ne pourra réparer le manque de sommeil.

 

Quelles sont les conséquences du manque de sommeil pour la santé ?

 

La privation de sommeil fragilise l’organisme par :

 

Une baisse des défenses immunitaires,

Une augmentation du taux de cortisol (hormone qui intervient dans le stress),

Une mauvaise régulation de l’appétit par son effet sur le glucose,

Les enzymes digestives sont peu et mal activées entraînant une mauvaise digestion et une mauvaise assimilation des éléments nutritifs de l’alimentation.

 

Le manque de sommeil entraînera aussi :

 

Un vieillissement accéléré

Une diminution des capacités intellectuelles

Une plus faible mémorisation

 

Le lien entre le sommeil et la prise de poids :

 

Ainsi donc le manque de sommeil aura des incidences néfastes sur la santé et aujourd’hui, la relation entre le manque de sommeil, les risques d’obésité et le diabète, ont été mis en évidence dans des études de laboratoires.

Une étude contrôlée, en 2005, menée auprès de sujets de sexe masculin en bonne santé a révélé que la réduction du temps de sommeil à quatre heures provoque une augmentation de la faim avec une appétence marquée pour une nourriture riche en calories et en hydrates de carbone (aliments sucrés, aliments salés et riches en féculents).

Une autre étude menée sur 68 183 femmes d’âge moyen (40 à 65 ans) et en bonne santé a mis en évidence qu’un manque de sommeil entraîne une nette augmentation de poids.

 

A chaque âge son sommeil


HOMENATURO-Le-sommeil-des-enfants--.jpgLe sommeil est l’un des éléments moteur de la croissance. De ce fait les besoins en sommeil ne seront pas les mêmes tout au long de notre vie. Chez le nourrisson il sera à son maximum, pour les enfants il devra être très important et continuera à avoir une grande importance à l’adolescence. Ce n’est qu’à partir de l’âge adulte que les besoins de l’organisme en quantité de sommeil commenceront à diminuer. Il faut donc garder à l’esprit que tout au long de la croissance l’individu a un important besoin de sommeil et que la privation de celui-ci sera obligatoirement préjudiciable à son bon développement tant physique qu’intellectuel.

A l’inverse la qualité de sommeil aura tendance à dimunier plus on avance en âge, principalement  à cause des éveils conscients durant le sommeil qui deviennent plus longs et plus nombreux et ainsi le sommeil léger va prédominer alors que les phases de sommeil profonds auront tendance à diminuer ce qui, à l’état de veille, incitera à la somnolence.


En résumé

Le sommeil est l’un des facteurs essentiel à une bonne hygiène de vie et toute alteration de celui-ci sera préjudiciable à la santé.

Le sommeil étant l’un des quatre côté du carré de la santé naturopathique,  sa qualité devra toujours être prise en compte par le Naturopathe qui, le cas échéant, conseillera le consultant pour le rétablir.

 

 

 

Sources :

Knutson K.L. et al. (2007). The metabolic consequences of sleep deprivation. Sleep Medicine Reviews 11(3):159-62

Spiegel K. et al. (2005). Sleep loss: a novel risk factor for insulin resistance and Type 2 diabetes. Journal of Applied Physiology 99:2008-19

Van Cauter E. et al. (2007). Impact of sleep and sleep loss on neuroendocrine and metabolic function. Hormone Research 67:2-9

Conseil Européen de l'Information sur l'Alimentation (EUFIC)

 

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

 

 

homenaturo34x34-facebook----

Partager cet article
Repost0
13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 14:49

agriculture bio, alimentation mondiale, FAO, ONU, cultures bio, OGM, naturopathie,


HOMENATURO-ALIMENTATION BIOAugmenter la production 

alimentaire mondiale

grâce à l’agroécologie

 Univers Nature   09-03-2011

 

Dans un récent rapport de l’ONU paru le 8 mars dernier, le Rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation, Olivier De Schutter (lire le rapport format PdF ici), a estimé que les petits fermiers pourraient doubler leur production alimentaire sur les 10 prochaines années en recourant à des pratiques agroécologiques. Justifiant ce constat, le rapport explique que l’agroécologie (1) permet une meilleure conservation des sols et, par voie de conséquence, de produire plus sur le long terme.
En 2007, un précédent rapport de la FAO (2)  avait déjà souligné les sérieux atouts de l’agriculture biologique face à la pression d’une demande alimentaire croissante. de substantielles économies pour les agriculteurs. C’est notamment le cas de projets conduits en Indonésie, au Viet Nam et au Bangladesh, où la réduction de l’utilisation d’insecticides a généré d’importantes économies pour les paysans.
Selon l’expert, divers projets agroécologiques ont d’ores et déjà prouvé leur efficacité. Ainsi, dans 57 pays en développement, la production a augmenté de 80 %, avec une moyenne de 116 % dans les projets mis en œuvre en Afrique. De récents projets menés dans plus de 20 pays africains ont, en effet, permis de doubler les récoltes sur une période de 3 à 10 ans.  

Mais ce passage à l’agroécologie a besoin de leviers. En ce sens, le rapport souligne le rôle décisif à jouer des Etats et des donateurs dans la mesure où les entreprises privées ne gaspilleront pas de temps ou d’argent dans des pratiques qui ne leur assureront ni la vente de leurs produits, ni l’ouverture de marchés à conquérir.  
Face à l’actuelle flambée des prix des denrées alimentaires, la sécurité alimentaire apparaît de plus en plus problématique. Mais pour Olivier De Schutter, le problème de la faim dans le monde ne se résoudra pas avec l’établissement de grandes fermes industrielles, bien au contraire. Soulignant l’urgence d’adapter l’agriculture afin de nourrir les 9 milliards d'êtres humains attendus en 2050, il a conclu que : « Nous devons faire vite si nous voulons éviter des catastrophes alimentaires et climatiques au 21e siècle ». Abondant en ce sens, l’association Générations Futures a appelé à une « révolution agricole » afin de sortir du schéma d’une agriculture intensive qui asphyxie tant les agriculteurs que l’environnement, notamment via des intrants (3) coûteux et nuisibles.
Cécile Cassier
1- Selon le Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), l’agroécologie repose sur « des systèmes de culture attractifs, rentables, protecteurs de l'environnement et durables, basés sur le semis direct sur couverture végétale permanente (SCV). Dans ces systèmes, le sol n'est jamais travaillé et une couverture morte ou vivante est maintenue en permanence. Les pailles proviennent des résidus de cultures, de cultures intercalaires ou de cultures dérobées utilisées comme « pompes biologiques ». Ces plantes ont des systèmes racinaires puissants et profonds et peuvent recycler les nutriments des horizons profonds vers la surface, où ils peuvent être utilisés par les cultures principales. Ils produisent aussi rapidement une importante biomasse et peuvent se développer en conditions difficiles comme durant les saisons sèches, sur des sols compactés, et sous une forte pression des adventices ».
2- Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture.
3- Engrais et pesticides.

 

imagesLa FAO plébiscite

l’Agriculture Biologique

Univers Nature  26-05-2007

L’agriculture biologique n’est plus un phénomène propre aux pays développés, en 2006, elle cumulait 31 millions d’hectares dans 120 pays et représentait un marché de 40 milliards de dollars. Cette évolution n’a pas échappé à la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture) qui se livre à un véritable plébiscite pour ce mode de production agricole dans un rapport intitulé 'Agriculture biologique et sécurité alimentaire'.

Pour la FAO, la principale caractéristique de l’agriculture biologique est qu’elle s’appuie sur des biens de production disponibles sur place et qu’elle a peu recours aux carburants fossiles. En outre, gérant la biodiversité dans le temps (rotation des cultures) et l’espace (cultures associées), les agriculteurs bio utilisent la main-d'œuvre et les services environnementaux pour intensifier la production de manière durable. Economiquement, l’organisme des Nations Unies considère également que l’agriculture biologique rompt le cercle vicieux de l’endettement pour l’achat d’intrants agricoles (pesticides et engrais). De même, les paysans bio disposeraient de revenus plus importants tout en bénéficiant d’une meilleure autosuffisance alimentaire.

En conclusion de son rapport, la FAO invite les gouvernements à allouer des ressources à l’agriculture biologique et à intégrer ses objectifs et ses actions dans leurs stratégies nationales de développement agricole et de réduction de la pauvreté.

A l’heure où plusieurs analyses sur l’approvisionnement mondial suggèrent que l’agriculture biologique a le potentiel de satisfaire la demande alimentaire mondiale, tout comme l’agriculture conventionnelle d’aujourd’hui, mais avec un impact mineur sur l’environnement, ce rapport est une nouvelle invitation à une montée en puissance de l’agriculture bio et un pavé dans la mare des OGM et des multinationales de la semence.

                                                                                                                                                  Alex Belvo

 

Lire le rapport sur l'Agriculture et le Marché Bio en France b ok mod ident

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturo

 

Vous souhaitez réagir à cet article, rendez vous à l'espace commentaires ici

 

 

homenaturo

Partager cet article
Repost0
12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 17:42

A.HomeNaturoL’Hyperthermie

 

L’Hyperthermie ou élévation anormale de la température corporelle.

Certains ne parlent d’hyperthermie que pour les montées en température « accidentelles » : coups de chaleur, déshydratation, efforts musculaires…pour d’autres, dont je suis, l’hyperthermie désigne toutes élévations de la température corporelle que celle-ci soit occasionnée ou non par la maladie, autrement dit c’est la fièvre. 

 

Quel est le rôle de la fièvre ?

 

Nous allons ici évoquer l’état fébril provoqué par la maladie.

 

Dans ce cas d’espèce, la fièvre est une manifestation salvatrice de notre organisme et l’hyperthermie est alors une réaction normale à une situation de crise.

La fièvre permet la maturation du système immunitaire, c’est la meilleure parade aux infections : elle stoppe la multiplication des microbes et active les defenses naturelles : globules blancs et rouges entrent en action à partir de ce signal.

 

Faut-il stopper la fièvre ?

 

Lorsque l’on comprend qu’au moment d’une agression pathogène le corps réagit pour éliminer l’agresseur et que cette réaction est mise en place par la fièvre, on comprend mal pourquoi on s’obstine à vouloir éliminer la fièvre qui est pourtant l’un des défenseurs de notre organisme.

Par la fièvre tout le système défensif de l’organisme va se mettre en branle,

Par la fièvre les globules blancs vont augmenter pour combattre l’intrus,

par la fièvre les virus vont être bloqués dans leur progression,

et enfin, par les sudations dues à la fièvre, les toxines vont être éliminées.

 

Danger des antipyrétiques

 

En agissant à la place de l’organisme les médicaments vont décapiter tout système de défense et lorsque l’on fait « tomber » la fièvre en donnant un antipyrétique (aspirine, paracétamol) et des antibiotiques on va certes supprimer la fièvre et l’infection mais par la même occasion on va détruire le système immunitaire.

Autrement dit ces médicaments empêchent l’organisme de générer ses propres defenses immunitaires.

 

C’est pourquoi les maladies infantiles sont si utiles car elles vont servir à faire mûrir le système immunitaire naturel et ceci par l’hyperthermie.

 

Or, à la suite de prises de médicaments, le malade va se retrouver affaibli et de plus en plus fragilisé face aux virus. Telle est donc l’énorme erreur de cette pratique : le système immunitaire naturel va dégénérer car il ne sera pas employé et ne sera plus en mesure de reconnaître et de détruire les virus pathogènes et les cellules anormales.

 

Pourtant, André Lwoff (1902-1994), Prix Nobel de Médecine en 1965, a démontré, avec sa femme Marguerite, le rôle de la fièvre dans la guérison des infections virales, sans que cette démonstration n’ait influé sur la prise en compte de l’hyperthermie dans la médecine conventionnelle.

 

Alors, évidemment, dans certaines pathologies graves où la vie est en danger, l’usage des antibiotiques est indispensable, mais laissons les maladies infectieuses bénignes se faire pour construire l’immunité naturelle.

 

Au sujet de la santé lire aussi 

Médicaments et effets secondaires l'avis du Naturopathe

Effets secondaires des médicaments : témoignages

Conférence Nationale de la Santé, Bernard Kouchner 

Les maladies dégénératives en augmentation  

Malade ? Et si c'était le médicament ?

Le Dr Alain Braillon, le médecin qui dérange...

Le club des parlementaires au service de la santé...

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle au chevet de la santé

Vers des expérimentations médicales humaines sans consentement !

En Inde, des tests médicaux sont pratiqués en secret...

Le médicament, les laboratoires pharmaceutiques et nous...

De la bonne santé des laboratoires pharmaceutiques

Les parabènes interdits et les médicaments

Grippe A/H1N1, les Naturopathes avaient raison !

La fièvre ou l'hyperthermie en Naturopathie


Diagnostiques et médecine nucléaire

médecine nucléaire et irradiations médicales l'avis du Naturopathie

Cancer du sein les risques du surdiagnostic

Les dangers de l'imagerie médicale

Le soleil et la vitamine D


Revue de Presse

Dans la presse : Les Français et les médicaments

Dans la presse : on parle encore du médiator

Ce cher...Médiator : une petite boîte d'un coût exhorbitant !

Dans la presse : Distilbène, Requip : effets secondaires

Dans la presse : témoignage d'une malade du médiator

La ronde des médicaments...

 

et d'autres....

 

A.ACCUEIL Blog HomeNaturohomenaturo

Partager cet article
Repost0